Révolution et mensonge -...
politiques d’Alexandre Soljénitsyne. Ce recueil s’ouvre sur une lettre
publique, qui est l’axe de son oeuvre, le moteur de sa vie : pour résister,
il faut commencer par se réformer soi-même.
Dans l’entreprise folle visant à obtenir un monde toujours plus globalisé, financiarisé à outrance, standardisé à l’extrême, c’est bien une hyper-classe mondiale qui a déclaré la guerre aux peuples, à tous les peuples.
Condamnant ainsi chaque individu à un véritable sida mental, chaque nation à un cancer moral, la Pollution, entre autres armes du mondialisme, demeure le plus pernicieux des moyens car presque invisible pour qui ne prend pas le temps de se documenter sur cette menace pourtant bien réelle !
Dans l’histoire de l’humanité, nul bien de consommation n’a colonisé la vie
des hommes aussi prestement que la télévision. En un quart de siècle, la
proportion d’individus lisant 20 livres par an a fléchi de près de 50 % tandis que
le nombre de spectateurs consacrant 3 heures par jour à la télévision s’est accru
de plus d’un tiers.
Fait plus préoccupant encore, la consommation audiovisuelle précoce engendre
une altération de la formation du cerveau infantile avec des conséquences
sur sa santé, sa scolarité et ses relations sociales… Si la télévision est dangereuse
pour les enfants, elle l’est aussi pour les adultes. Et le phénomène s’amplifie avec
l’utilisation toujours plus importante d’Internet, de la tablette, du smartphone,
de l’Iphone, etc.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
La première version du fascisme que nous présente l’histoire contemporaine est le fascisme italien. À l’origine, c’est un mouvement de militants socialistes et d’anciens combattants qui sauva l’Italie du bolchevisme. Mussolini est le fils d’une institutrice et d’un forgeron militant de l’Internationale. On le met en prison à vingt ans pour avoir fomenté une grève générale. II est d’abord insoumis, s’exile en Suisse, traduit Kropotkine, la première revue qu’il fonde s’appelle La Lutte de classe, le premier journal qu’il dirige est un journal socialiste. Les débuts du fascisme ne démentent pas cette origine.
Préface d'Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherches à l'INSERM
Lorsque la vaccination fut inventée, au XVIIIe siècle, le système immunitaire nous restait entièrement inconnu. Il était impossible de se représenter – et moins encore de comprendre ! – ce que provoque dans l'organisme l'injection d'une substance biologique étrangère. De même lorsque, croyant bien faire, les gouvernements imposèrent une vaccination indifférenciée et systématique à tous les citoyens, on ignorait tout du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH), découvert par Jean Dausset en 1958, selon lequel chaque être humain a un comportement immunitaire qui lui est propre et rejette le « non-soi ».
Tout acte médical devrait relever d'un dialogue personnel entre le médecin et chaque patient.
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.