Paneurope et fascisme,...
Pour son plus grand malheur, l’œuvre de Richard Nikolaus von Coudenhove-Kalergi est tombée un jour entre les mains d’un front bas conspirationniste.
Celui-ci ne l’a naturellement pas comprise et, de là, est né le mythe du « Plan Kalergi » qu’une ribambelle d’imbéciles nous rabâchent ad nauseam en le liant parfois à d’autres complots tout aussi stupides mettant en cause les gnostiques, les juifs, les francs-maçons, etc.
Or, il n’existe pas de « Plan Kalergi » et le comte von Coudenhove-Kalergi ne fut qu’un révolutionnaire conservateur mineur.
Ce dossier, constitué autour de deux contributions de Julius Evola remettra les pendules à l’heure et rendra son honneur à un homme à la pensée aussi profondément aristocratique que méconnue.
Le Matin des magiciens -...
On définit généralement le fantastique comme une violation des lois naturelles, comme l’apparition de l’impossible. Pour nous, ce n’est pas cela du tout. Le fantastique est une manifestation des lois naturelles, un effet du contact avec la réalité quand celle-ci est perçue directement et non pas filtrée par le voile du sommeil intellectuel, par les habitudes, les préjugés, les conformismes. Nous pensons que c’est au cœur même de la réalité que l’intelligence, pour peu qu’elle soit suractivée, découvre le fantastique. Un fantastique qui n’invite pas à l’évasion, mais bien plutôt à une plus profonde adhésion. La science moderne nous apprend qu’il y a derrière du visible simple, de l’invisible compliqué.
Avant que Hitler ne vienne...
Rudolf von Sebottendorff fit paraître, en 1933, ce livre qui fut immédiatement interdit par les Nationaux-Socialistes peu désireux d'être assimilés à l'ésotérisme fumeux de la Société Thulé.
Le véritable procès...
ou les vainqueurs incorrigibles
« Les hostilités terminées, s’il n’y eut sur le moment que peu de gens à penser qu’il était nécessaire de passer au crible les horreurs et les responsabilités de la Seconde Guerre mondiale, il est remarquable que ces gens aient été surtout de droite et qu’ils aient, en outre, fondé leur attitude sur les principes au nom desquels les intellectuels de gauche avaient refusé Versailles vingt-cinq ans plus tôt. Quant aux intellectuels de gauche, dans leur écrasante majorité, ils ont approuvé et exalté Nuremberg au nom de principes dont, au temps de Versailles, ils reprochaient le caractère réactionnaire à ceux de la droite qui les faisaient leurs, et le phénomène n’est pas moins remarquable.
Le Mensonge d'Auschwitz -...
Un ancien soldat allemand qui était à Rajsko (camp satellite d’Auschwitz) pendant la guerre nous dit ce qu’il y a vu et ce qu’il n’y a pas vu. Son témoignage lui a valu des ennuis sans nombre. Un classique du révisionnisme des années soixante-dix.
Traduction revue et corrigée
48 p.
Mais qui est donc le...
Pour ses adversaires, il est un antisémite, un nazi, un faussaire, «un lâche qui tue les morts» ; il fait partie d’une «petite bande abjecte» et des «gangsters de l’histoire».
Pour les zélotes de «l’Holocauste», il est une cible de choix contre laquelle, depuis des années, on multiplie impunément appels au meurtre et agressions physiques.
Pour les médias, il est ce criminel de la pensée qu’on dénonce rituellement sans lui accorder le moindre droit de réponse.
Pour la justice, il est un multirécidiviste qu’une loi confectionnée sur mesure en 1990 (la loi Fabius-Gayssot) autorise à condamner sans avoir à tenir compte de ses arguments sur le fond.
Les Confessions de Kurt...
Étude comparative des différentes versions
Préface d'André Chelain
Henri Roques (1920-2014) était un honorable retraité, vivant dans la banlieue parisienne, qui défraya la chronique en soutenant avec succès une thèse de littérature comparée et de critique de textes devant un jury de l’université de Nantes. La teneur et les conclusions de cette thèse firent scandale dans les médias. Du jour au lendemain, Henri Roques occupa la première page des journaux, déclenchant une vaste polémique qui conduisit les autorités universitaires et le ministère de l’Éducation à prendre des mesures énergiques à la demande de ceux qui s’estimaient offensés par les conséquences que pourraient avoir les conclusions de la thèse dans l’opinion publique mondiale.
Bricolage et « gazouillages...
En 1989, Jean-Claude Pressac publiait un énorme ouvrage consacré aux chambres à gaz homicides d’Auschwitz et de Birkenau. […] Ainsi qu’on va le voir dans la présente étude, le livre de Pressac était une calamité pour les exterminationnistes, une aubaine pour les révisionnistes.
142 p.
Martin Gray, marchand de...
La plupart des historiens s’accordent pour dire que le récit de Martin Gray est celui d’un imposteur qui n’a jamais mis les pieds à Treblinka.
Ce faux témoignage a néanmoins été traduit dans plus d’une vingtaine de langues, adapté au cinéma, en bande dessinée, en littérature jeunesse. Il n’a surtout jamais cessé d’être réédité jusqu’à ce jour. N’est-il pas temps de mettre fin à ce véritable scandale ?
24 p.
Réponse à Pierre...
En 1980, Pierre Vidal-Naquet, professeur à l’École des hautes études en sciences sociales, tenta de répondre aux thèses révisionnistes du Professeur Faurisson dans une longue et violente étude intitulée : « Un Eichmann de papier. Anatomie d’un mensonge ». Robert Faurisson publia en 1982 sa réponse aux arguments de Pierre Vidal-Naquet. Il le fit à la veille d’un colloque sur « le national-socialisme et les Juifs » qui se tint du 29 juin au 2 juillet 1982 à la Sorbonne et aux Hautes Études. L’entrée de ce colloque fut interdite à Robert Faurisson et aux universitaires qui prenaient sa défense. Les vues des auteurs révisionnistes furent présentées par… Pierre Vidal-Naquet.
Combien de morts à...
Selon les historiens officiels (ceux que protègent les lois de la République française et le pouvoir médiatique), le nombre des morts à Auschwitz varie de 8 000 000 (c’est le chiffre de l’Office français de recherches des crimes de guerre et du Service français d’information des crimes de guerre en 1945) à un nombre compris entre 630 000 à 710 000 (c’est le chiffre avancé par Jean-Claude Pressac en 1994) ; selon ces historiens, ces personnes auraient été, pour la plupart, victimes d’une politique d’extermination physique. Mais, selon les auteurs révisionnistes, le nombre des morts serait de 150 000, pour la plupart victimes d’épidémies diverses et, en particulier, du typhus.
Une allumette sur la...
Écrits de combat (1980-1992)
Serge Thion avait rassemblé la matière de ce volume au début de 1990. Dix ans avaient passé depuis qu’il avait publié Vérité historique ou vérité politique ?, qui avait fourni à l’époque le premier dossier à peu près complet de l’affaire du révisionnisme. Il y décrivait comment était né ce qu’on appelle l’affaire Faurisson et examinait les sources disponibles concernant l’affaire dite des « chambres à gaz ». Il notait que la documentation fiable était restreinte et que nombre de témoignages soulevaient de graves questions. Il concluait en disant que cette période, comme n’importe quelle autre, devait désormais entrer dans le champ de la recherche historique et de ses méthodes établies.