Synthèse no63 - Mondialiste...
Sommaire
N°63 – PRINTEMPS 2023
P. 2 ÉDITORIAL Roland Hélie
P. 5 L’ÉCOLE FABRIQUE DES ABRUTIS Bernard Germain
P. 11 MACRON ET MÉLENCHON, COMPLICES DE LA LIBANISATION DE LA FRANCE Bernard Germain
P. 17 VOUS AVEZ DIT “TERRORISME D’EXTRÊME GAUCHE”. Michel Festivi
P. 21 TRIBUNE LIBRE André Posokhow
P. 27 CALLAC LE COMBAT CONTINUE
P. 32 LA CHRONIQUE de Philippe Randa
P. 35 LE PEUPLE FRANÇAIS N’EXISTERAIT PAS. Charles-Henri Michel
P. 41 UNION DES DROITES ? UN LEURRE ! Patrick Parment
P. 44 Eric Zemmour : IL N’A PAS DIT SON DERNIER MOT. Patrick Parment
P. 47 MERCI BEAUCOUP URSULA ! Pieter Kerstens
Berlin sera notre tombeau...
La 33 Waffen-Grenadier-Division der SS Charlemagne, en français, la « 33e division de grenadiers de la Waffen-SS « Charlemagne », nommée le plus souvent « la division Charlemagne », était l'une des divisions d'infanterie de la Waffen-SS de la Seconde Guerre mondiale. Elle était constituée majoritairement de Français engagés volontaires. Cette division étrangère de l'armée allemande participa à la bataille de Berlin en avril et mai 1945. Sous le commandement du SS-Hauptsturmführer Henri Fenet, elle fut la dernière compagnie à défendre le bunker d'Hitler.
Berlin sera notre tombeau...
Fin avril 1945. Berlin est cerné, à l'ouest par les américains, à l'est par les russes. Les ruines fumantes de la capitale du troisième Reich vont être le théâtre de l'ultime combat, dernière résistance d'une armée en déroute. La Division Charlemagne a subit de lourdes pertes. Les hommes sont fatigués, conscients de l'issue inévitable des combats. Leur seule chance, tenir face aux russes jusqu'à l'arrivée des américains, dans l'espoir que leur sort sera meilleur... Et espérer une fin honorable.
Révolution et mensonge -...
politiques d’Alexandre Soljénitsyne. Ce recueil s’ouvre sur une lettre
publique, qui est l’axe de son oeuvre, le moteur de sa vie : pour résister,
il faut commencer par se réformer soi-même.
La poésie sudiste
Traduit de l’anglais, présenté et annoté par Christophe Dolbeau
Nombreux sont les livres et revues qui retracent les péripéties militaires de la guerre de Sécession, l’épopée des soldats confédérés, et la mobilisation sans faille de la population du Sud derrière le président Jefferson Davis et le général Robert Edward Lee.
La littérature du Dixieland, en revanche, et plus particulièrement la poésie, n’a guère retenu, jusqu’à présent, l’attention des chroniqueurs et des historiens. Chez nous tout au moins. Fidèles reflets du talent, des valeurs, des peines et de la vaillance des Sudistes, les poèmes de cette époque contribuèrent pourtant grandement à stimuler la pugnacité et le moral de tout un peuple.
Civitas no85 - La dystopie
Après avoir consacré le numéro 84 de la revue Civitas à L’insupportable police de la pensée, le comité de rédaction a décidé de poursuivre sur cette ligne de dénonciation de la tyrannie qui se met en place en se penchant sur son incarnation actuelle, la dystopie en marche : Orwell et Huxley l’avaient rêvé, la Dystopie c’est aujourd’hui.
PMA, GPA, Utérus artificiel, surveillance, manipulation, Etat qui se prend pour Dieu, « la dystopie n’est plus une fiction mais une réalité » constate le président de Civitas, Alain Escada, dans son éditorial de présentation de ce dossier captivant qui pose la question « Tout s’enchaine de main de maître. Comme si tout avait été orchestré dans l’ombre ? ».
Charette - Anne Bernet
La grande figure méconnue de la Contre-Révolution.
Mars 1793 : poussé à bout par la persécution religieuse, les bouleversements politiques et la décision parisienne d’enrôler trois cent mille jeunes gens pour la guerre révolutionnaire, l’Ouest de la France se soulève. Les insurgés du pays de Retz et du Marais breton portent à leur tête un ancien officier de marine, François-Athanase Charette de la Contrie. Seul parmi tous les généraux vendéens et chouans, Charette osera employer les mêmes méthodes que l’adversaire, et répondre à la violence par la violence. Cela ternira son image…
Méditations du haut des...
Eminent métaphysicien de l’Ecole de la Tradition , fin connaisseur des doctrines ésotériques d’Orient et d’Occident, doctrinaire politique aussi radical qu’inclassable, le penseur italien Julius Evola (1898-1974) fut également un alpiniste singulier.
Dans ce recueil d’articles, il nous livre ses méditations sur le symbolisme de la montagne, sur « l’art des neiges », et surtout sur sa pratique, à savoir la conquête du sommet, là où règne le démon des cimes.
Toujours considérée, par l’humanité traditionnelle, comme un lieu réservé uniquement aux héros et aux initiés, la montagne apparaît aujourd’hui comme une des rares voies - voire une des seules en Occident - offerte à l’homme pour une réalisation spirituelle authentique et intégrale.
La fin du monde moderne -...
9 ans après La faillite du monde moderne, l’écriture de ce livre s’est imposée d’elle-même. Il y sera question de la crise sanitaire du Covid-19 qui, depuis plus de 20 mois, colonise de manière agressive, nos écrans et notre quotidien, à travers une propagande assumée, nourrie par une hypermédiatisation forcenée, unique dans l’histoire contemporaine. À l’image du premier livre de M. Laïbi Salim, d’autres domaines nombreux et importants seront traités, comme la politique, la finance, la crise climatique et les objectifs de développement durable imposés par ceux-là mêmes qui ont détruit la planète, de réseaux occultes et de pédocriminalité, du Great reset, du Nouvel ordre mondial…
Miguel Primo de Rivera -...
Préface d’Arnaud Imatz
Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne : 1923-1930… Un ouvrage consacré au général Miguel Primo de Rivera (1870-1930) qui, après des années de fiascos politiques et économiques, permit à l’Espagne de se redresser, en rétablissant l’ordre public, en réussissant la pacification du protectorat espagnol au Maroc, en impulsant d’importants travaux publics et de nombreuses réformes économiques et en tentant un changement institutionnel qui ne put néanmoins parvenir à son terme.
Le Régime politique de Miguel Primo de Rivera a duré du 15 septembre 1923 au 28 janvier 1930 ; il est singulièrement méconnu en France.
L'Espagne ensanglantée -...
Une violence qui jouera un rôle majeur dans l’effondrement de la seconde République
Anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires : 1880-1939
À partir de la fin du XIXe siècle, l’Espagne va souffrir d’importants mouvements anarchistes, entrainant une violence politique sans précédent. L’auteur décrit ces crimes et assassinats terroristes qui vont ensanglanter la péninsule, l’empêchant de progresser. Des plus hauts dignitaires de l’État, des ecclésiastiques, ou de simples gens du peuple vont être abattus au nom du communisme libertaire.
L’auteur campe les factions anarchistes espagnoles responsables de ces déchainements, ainsi que la vie des principaux meneurs.