Fiston - Antoine Bonnet
« Fiston, c’est l’histoire de Charles Prochain, un homme usé et désabusé par la modernité qui raconte sa vie à son fils.
Mécanicien bateau noyé dans la déréliction, il se retrouve seul contre tous avec l’ombre de son passé comme seule compagnie.
Bloqué dans un monde transpirant la moraline, il passe son temps à ressasser un passé douloureux et à juger sans filtre un monde qu’il rejette en bloc, les yeux rivés sur la Méditerranée.
Charles et ses sombres pensées sont alors bousculés par une annonce de son patron qu’il déteste et qui va bientôt le mettre sur la paille.
Le revolver dans la poche et sous le ciel bleu de Provence, rageant contre Albion et la transcendance perdue, il s’élance pour une dernière chevauchée sous un soleil écrasant d’amertume. »
Zentromag no8
► Edito
► Erdogan et l'héritage d'Atatürk
► Zola contre la société de consommation
► Le football, objet marchand
► Le contre-revolutionnaire qui se disait fasciste
► En avant, calme et droit
► L'alternative
► L'institut Emmanuel Ratier
► Connaître la nature pour ne pas la subir
► Combien coûte l'argent ?
L'ascension du mont Ventoux...
C'est l'une des lettres les plus célèbres de toute la tradition épistolaire occidentale. L'une des plus belles, l'une des plus essentielles aussi. On y a vu l'invention du paysage. Pétrarque, poète et ecclésiastique à la cour papale, a trente-deux ans en 1336 lorsqu'il rédige cette lettre à l'attention de son confesseur. Cela fait plus de dix ans qu'il vit à Avignon et que Laure l'a éconduit. Le mont Ventoux appartient au spectacle naturel de la région à laquelle Pétrarque est si attaché depuis son enfance. Pic d'une crise spirituelle, le récit de son ascension est celui d'une formidable expérience dont il découvre la portée allégorique. L'Ascension du mont Ventoux marque une conversion, la réconciliation de Pétrarque avec l'ordre du monde et la splendeur de Dieu.
Feu sacré - Capitaine Caval
« Épouvanté, il se retourna vers la cathédrale. Elle était là, immobile, au coeur de la Cité, symbole de l'histoire de France, lieu de pèlerinage ou de dévotion, témoin inébranlable de la foi. Une fumée noire s'échappait de sa blessure. Elle semblait être rentrée dans une agonie de cathédrale. Des dizaines de fourmis s'activaient à son chevet pour la secourir.
Et les foumis n'étaient autres que ses camarades de la brigade. »
Jeune sergent de la Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris, Flamme se retrouve ici confronté à des attentats terroristes dans la capitale.
Saura-t-il déjouer le funeste projet d’incendie du phare spirituel de l’île de la Cité ?
Alice, la jeune infirmière, l’aidera-t-elle à faire face au nouveau complot ourdi par l’Internationale d’Artimon ?
Zentromag no2
Sommaire :
Edito
Zentropa : Abécédaire Zentropiste
Kulturkampf : Une maison d'édition pour la reconquête
Esprit : Le romantisme fasciste
Entretien : Peste noire
Musique : China Oï
Loisir : la détection, une lucarne sur le passé
Clan : Des choses saines dans un monde de timbrés
Zentromag no3
Sommaire :
Edito
Abécédaire zentropiste (suite)
Bernanos et la robots
Des hommes d'honneur : rencontre avec Franco Nerozzi
La Nouvelle France ne veut pas mourir : entretien avec le mouvement Atalante
Cinq questions aux éditions Némésis
L'aventure du journal « Gringoire »
Zentropa vu par ses amis... et ses ennemis
Zentromag no6
Sommaire :
► Edito
► Kulturkampf : Le petit remplacement/ Georges Valois
► Militia : A l'abordage, et pas de quartier !
► Tradition : Rituel des os de poulet en pays karenni
► Débat : Faut-il légaliser le cannabis ?
► Esprit : Spectacles de fin de civilisation
Zentromag no7
Sommaire :
► Edito
► Kulturkampf : Le faisceau de Saint-Thomas/ Contre Jünger
► Militia : Paroles d'un homme libre
► IRL : Ce Liban qui nous échappe
► ZIK : Metal, le salut par la « droite »
► Dans la poche : Le couteau, un objet pas comme les autres...
► Esprit : Retrouver le goût de l'ennui
Notes pour comprendre le...
« À l’intonation de la voix, à la minutie avec laquelle Drieu la Rochelle explique les différents horizons philosophiques ramassés dans Notes pour comprendre le Siècle, on devine le profond attachement qu’il a pour ce livre, un des plus magnifiquement explicites de notre temps. Une certaine froideur, contrastant avec la violence juvénile des Écrits de Jeunesse, augmente la force de pénétration de cet essai, cependant que la sagesse qui s’en dégage conserve quelque chose d’agressif et d’impatient. Sans doute est-ce par cela que se retrouve le Drieu de toujours, prosateur exquis et généreux poète de choc.
Deux guerres et une défaite ne sont pas, certes, sans avoir marqué Drieu la Rochelle. Ce ne sont pas des expériences que l’on subit impunément. »