

Grande édition illustrée de 176 gravures. Contient un index des noms et un index des gravures. Tome I : livres I à III - Tome II : livres IV à VI.
"Taine a écrit la Conquête jacobine. Je veux écrire la Conquête juive.
Le seul auquel la Révolution ait profité est le Juif. Tout vient du Juif ; tout revient au Juif.
Il y a là une véritable conquête, une mise à la glèbe de toute une nation par une minorité infime mais cohésive, comparable à la mise à la glèbe des Saxons par les soixante mille Normands de Guillaume le Conquérant.
Les procédés sont différents, le résultat est le même. On retrouve ce qui caractérise la conquête : tout un peuple travaillant pour un autre qui s’approprie, par un vaste système d’exploitation financière, le bénéfice du travail d’autrui.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
L’analogie-déduction permet de susciter chez de nombreux électeurs un refus définitif de la droite nationale. Elle rend vains tous les efforts de «dédiabolisation» tentés par ses chefs.
Comment fonctionne-t-elle et, à partir de cette connaissance, comment la contrer ? Cette brochure fournit le réponses. Un outil essentiel que tout militant nationaliste doit posséder afin de pouvoir neutraliser l’analogie-déduction.
Ce roman d’anticipation décrit un coup d’État mené aux États-Unis par des blancs. Les protagonistes du livre s’en prennent au gouvernement des États-Unis, mais aussi aux Noirs et aux Juifs, ces derniers étant décrits comme contrôlant l’État américain.
Les Carnets de Turner donnent une vision d’une grande perspicacité sur le fond de la Grande Révolution, qui est exceptionnellement valable :
C’est un rapport parfaitement détaillé et continu sur une portion de la lutte, durant les années précédant le point culminant de la Révolution, rapporté tel que cela s’est déroulé, jour après jour. De cette manière, on évite les travers de la distorsion rétrospective.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.