
Pendentif : Croix celtique...
Tous ces bijoux sont fabriqués à la main par des Artisans de Cornouaille.
Dimensions : 2,5 cm environ (hauteur) x 2,5 cm environ (largeur).
Ouvrage de combat et de propagande, il est destiné à expliquer l'histoire du NSDAP berlinois entre le 9 novembre 1926, au moment où Goebbels, chef du parti dans la Ruhr, arrive à Berlin pour reprendre en main le parti, et le 29 octobre 1927, date qui marque la levée de l'interdiction du parti nazi prononcée plusieurs semaines auparavant.
Tous ces bijoux sont fabriqués à la main par des Artisans de Cornouaille.
Dimensions : 2,5 cm environ (hauteur) x 2,5 cm environ (largeur).
J'ai le plaisir de vous présenter ce "carnet du militant face à la répression policière et judiciaire" rédigé par nos amis de l'ANAG sous les conseils de Maître Pierre-Marie Bonneau, avocat militant.
Ce carnet, d'une soixantaine de pages et d'un format facilement transportable, donne des conseils simples et pratiques afin d'éviter les ennuis inutiles et les complications judiciaires. Il donne des conseils avisés à suivre avant et pendant une manifestation, mais aussi en cas de contrôle, d'audition libre, de garde à vue ou de procès.
Un outil indispensable en ces temps de durcissement de l'appareil répressif.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»