SS - Léon Degrelle
Presque un livre testament de Léon Degrelle, complètement inédit, édition numérotée limitée à 1000 exemplaires, 192 pages, couverture simili cuir.
Tome 6 du Siècle de Hitler.
Léon Degrelle traite de la politique mise en place par le nouveau Chancelier du Reich suite à sa victoire électorale de 1933 : l'application du programme national-socialiste de réunification et de redressement d'une Allemagne ruinée dont la réalisation entraînera le soutien de l'immense majorité du peuple allemand.
L'expérience de Degrelle en fait un guide irremplaçable, face aux des historiens modernes et leur parti pris qui transforme en une caricature ridicule l'histoire du IIIe Reich, la rendant incompréhensible. Cette diabolisation met de côté les éléments positifs et surtout la rapidité du miracle économique allemand.
Presque un livre testament de Léon Degrelle, complètement inédit, édition numérotée limitée à 1000 exemplaires, 192 pages, couverture simili cuir.
Du républicanisme au totalitarisme : 1930/1936
Le 14 avril 1931, la monarchie Bourbonienne s’étant effondrée comme un château de cartes, la IIe République espagnole est auto-proclamée, par les gauches républicaines, grâce à des mouvements de foule incontrôlés, dans les plus grandes villes d’Espagne. L’auteur démontre, faits et références historiques à l’appui, comment « la légende dorée » de cette République espagnole alors à gauche, doit être remise en cause. Le livre met aussi en évidence que l’actuel débat politique espagnol, du fait de l’alliance gouvernementale de la gauche avec l’extrême gauche, est entaché, voire perverti plus que jamais par le ton et les clivages de cette époque, qui remontent à la surface.
Dès lors, ce livre a toute sa place dans les « vérités pour l’histoire ».
Par son Excellence le Président, professeur docteur Oliveira Salazar, Chef du Gouvernement Portugais.
Dix ans après la révolution nationale (1926), Salazar publie une sorte de compte-rendu, de bilan de sa politique. Il ne faudrait pas croire que l'intérêt de cet ouvrage se limite au seul Portugal. Loin de là ! L'intelligence, la doctrine et la Foi du président Salazar, qui lui ont permis de mener à bien son programme, devraient animer toutes les instances gouvernementales de tous pays ! Si elles l'avaient lu, elles y auraient toutes les réponses nécessaires à la crise actuelle ! Découvrez ce chef-d'oeuvre de politique réaliste qui saura nous être utile si nous devions un jour reconstruire un ordre nouveau.
Préface d’Arnaud Imatz
Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne : 1923-1930… Un ouvrage consacré au général Miguel Primo de Rivera (1870-1930) qui, après des années de fiascos politiques et économiques, permit à l’Espagne de se redresser, en rétablissant l’ordre public, en réussissant la pacification du protectorat espagnol au Maroc, en impulsant d’importants travaux publics et de nombreuses réformes économiques et en tentant un changement institutionnel qui ne put néanmoins parvenir à son terme.
Le Régime politique de Miguel Primo de Rivera a duré du 15 septembre 1923 au 28 janvier 1930 ; il est singulièrement méconnu en France.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.