Magarcane 4 Bérakhels -...
La mise à l'épreuve est terminée, la véritable mission commence. Farëanor est devenu alsarath. Il doit seconder le commandement du seigneur Sabraël pour une mission d'une extrême importance. Comble d'étonnement pour le chevalier de bronze, Méléanna est aussi membre de cet arklan, elle qu'il avait quittée abruptement. Et, parmi les arkels, on compte sur Tunk, Mécifal et même Fravalgar. Ils sont venus avec armes et bagages pour traverser Guéden G'Bar la sauvage.
Mais tandis que le groupe de Farëanor monte vers le Nord, le roi Féasîn et l'Armée de l'Agneau d'Or descendent au sud. Une guerre frontale est sur le point de s'ouvrir avec les royaumes sudarions. Les généraux s'inquiètent du peu d'hommes qui descendent au front.
On aurait bien besoin du retour d'Andugal.
Magarcane 5 La Ravine...
L’alliance entre les hommes et les orcs est-elle possible ? Farëanor et Méléanna veulent y croire. Et voici l’arklan lancé dans la nature sauvage des Monts Fermés. C’est l’angoisse au cœur que le bérakhel et son alsarath chevauchent dans la neige : ils ont pour mission de convaincre les chefs de clans orcs tout en stimulant l’unité à l’intérieur de leur propre délégation, qui regroupe pourtant bien des partis différents.
En ce même temps, le royaume d’Ébanestal est dans la tempête. Avec la capture du roi et la maladie de la reine, il faut élire d’urgence parmi les membres de la haute noblesse un régent pour diriger le pays et le prémunir contre la guerre et contre les troubles intérieurs.
Le Bulletin célinien no441
Sommaire : Rencontre avec Denis Podalydès – Colloque pour une autre fois – Céline dans Paris-Midi (2e partie) – Portrait de Céline dans le Patmos de sa banlieue [1971]
La guerre des Tranchées -...
Un enlisement sur les deux fronts.
À la suite du succès éditorial de la BD La bataille de la Marne parue en 2013, Patrick Deschamps, professeur d’histoire, continue son récit de la Grande Guerre en BD.
La guerre qui devait être brève, « fraîche et joyeuse », selon les propres mots du Kronprinz, s’éternise et se transforme en terrible sacrifice. Les raisons historiques, politiques et humaines de la durée de ce conflit sont racontées, comme la vie au front, le quotidien des soldats, l’apparition des nouvelles techniques de guerre, telle l’aviation, le renseignement et l’impérieuse mobilisation industrielle des pays engagés. Patrick Deschamps laisse souvent la parole à Maurice Genevoix pour la description des combats et les sentiments du soldat.