Comment cela est-il arrivé ? Comment les peuples de la terre, épris de liberté, sont-ils devenus les esclaves des juifs ? En bref, les non-juifs ne se serrent pas les coudes ; beaucoup parmi eux, sincères et malavisés, croient au blasphème selon lequel le Christ était un juif, et que les juifs sont nos dirigeants naturels parce que notre Dieu est un juif ; et puis, les juifs dépensent des fortunes chaque année pour dissimuler leurs crimes, alors que les Goyim ne dépensent rien pour découvrir ce que font les juifs. Notre histoire a été falsifiée dans le seul but de dissimuler la culpabilité des juifs dans le déclenchement de la quasi-totalité des révolutions et de nombreux autres désastres mondiaux.
La période insurrectionnelle à Paris dura deux mois environ, du 18 mars 1871 jusqu’à la « semaine sanglante » (21 – 28 mai). Cette insurrection contre le gouvernement issu de l’Assemblée nationale, qui venait d’être élue au suffrage universel masculin, établit une organisation proche de l’autogestion pour gérer la ville.
Rappelant que la problématique de l’identité est essentiellement une problématique moderne, Alain de Benoist en retrace la généalogie. Il rappelle que la dynamique libérale, en arrachant l’homme à ses liens communautaires et traditionnels, a mis en oeuvre un processus d’indistinction qui, par contrecoup, explique la montée des identités politiques et des identités de classes.
J'ai le plaisir de vous présenter ce "carnet du militant face à la répression policière et judiciaire" rédigé par nos amis de l'ANAG sous les conseils de Maître Pierre-Marie Bonneau, avocat militant.
Ce carnet, d'une soixantaine de pages et d'un format facilement transportable, donne des conseils simples et pratiques afin d'éviter les ennuis inutiles et les complications judiciaires. Il donne des conseils avisés à suivre avant et pendant une manifestation, mais aussi en cas de contrôle, d'audition libre, de garde à vue ou de procès.
Un outil indispensable en ces temps de durcissement de l'appareil répressif.
Des mythologies aux légendes populaires, des anciens rites religieux aux coutumes rurales encore vivaces aujourd’hui, de la célébration des fêtes traditionnelles à l’origine des prénoms, c’est une véritable encyclopédie de l’Europe païenne qui vous est offerte dans ce livre illustré, prodigieusement documenté et bourré de renseignements pratiques pour ceux qui ne veulent pas perdre la mémoire !
De Jean Thiriart (1922-1992), penseur de l’unification européenne injustement méconnu, les plus avertis connaissent le militant, le chef de l’organisation transnationale Jeune Europe, ses écrits des années soixante, Un Empire de 400 millions d’hommes : l’Europe (1964) ou La Nation européenne, revue mensuelle qui paraît entre 1966 et 1969.
Retiré de la vie militante en 1969 pour se consacrer à la Société d’optométrie d’Europe, qu’il fonde en 1967 et qu’il présidera jusqu’en 1981, il réapparaît au début des années quatre-vingt en tant que théoricien développant une vision géopolitique des grands espaces en opposition avec les nationalismes étroits.
Arnold S. Leese « Meurtres rituels juifs » Condamné à la prison ferme pour avoir publié un article sur les meurtres rituels juifs dans sa revue « The Fascist », Arnold Leese, rapporte ici toutes les preuves selon lesquelles les meurtres rituels juifs sont enregistrés comme un fait établi en Grande-Bretagne et ailleurs. Le juge avait interdit à Leese d'utiliser la vérité comme ligne de défense. Peu importait qui d'autre avait accusé les juifs de meurtre rituel ; à quelle fréquence ; quels faits historiques l'avaient prouvés ; ou encore, combien de phrases il y avait eu sous l'autorité juridique proprement dite. Cette vérité était bien la dernière chose que la main cachée judéo-maçonnique voulait !