Nos belles années de plomb...
Les nationaux-révolutionnaires italiens dans l’orage de la lutte armée et de l’exil
Dès la première moitié des années 70, l’Italie est plongée dans la période trouble et agitée des Années de plomb. Durant cette guerre civile larvée où « tuer un fasciste n’est pas un délit », une répression impitoyable s’abat sur les organisations Ordine Nuovo et Avangardia Nazionale, tandis que les formations communistes révolutionnaires se lancent dans la lutte armée et le terrorisme.
Ce témoignage poignant d’une génération sacrifiée abonde en révélations sur les dessous de l’histoire politique italienne des cinquante dernières années et brise le monopole d’une historiographie partiale en offrant aux jeunes Européens l’évocation d’un mouvement qui fut, en de nombreux points, exemplaire.
Plaidoyer pour Joseph...
Préface d’Alain Sanders
Parmi les « maudits » de l’Histoire, aux côtés de l’empereur Néron et d’Adolf Hitler, on peut affirmer, sans risque de se tromper, que le sénateur Joseph McCarthy est le personnage le plus exécré. Son seul tort ? Avoir voulu exposer aux yeux du peuple américain l’invraisemblable infiltration communiste au sein des plus hautes instances de l’État (Armée, OSS, Département d’État, Trésor, conseillers présidentiels, etc.). Pour cela, il a été inlassablement insulté, brocardé, puis ostracisé.
L'Eglise & l'apostasie -...
« L’instauration de cette “église conciliaire” imbue des principes de 1789, des principes maçonniques, est une imposture inspirée par l’Enfer [...]. C’est donc un devoir strict pour tout prêtre et tout dèle voulant demeurer catholique de se séparer de cette église conciliaire, tant qu’elle ne retrouvera pas la tradition du magistère de l’Église et de la foi catholique. » (Itinéraire spirituel)
Tel fut le testament de Mgr Lefebvre, ancien archevêque de Dakar, délégué apostolique, supérieur des Spiritains, Président du Cœtus - le groupe des pères opposés à la révolution lors du Concile Vatican II - et fondateur de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X.