Mes mythes de la guerre...
Enorme succès de librairie lors de sa parution en Espagne en 2003, cet ouvrage conclut à la responsabilité écrasante de la gauche révolutionnaire dans le déclenchement de la guerre civile espagnole. Selon les documents exceptionnels rassemblés par Pio Moa, l'origine du conflit n'est pas, en effet, le coup d’état raté de juillet 1936 contre la Seconde République espagnole mais bien la « menace rouge » que représentaient pour la démocratie les factions d'extrême gauche qui préparaient un soulèvement de type communiste sur le modèle de la révolution asturienne de 1934.
Discours sur le Blitzkrieg...
Introduction de Bernard Plouvier.
Discours officiels et intégraux du 28 avril 1939 au 24 février 1941
Pour qui est passionné par les prémices de la IIe Guerre mondiale et sa première partie, ces discours démontrent à quel point l’argumentation d’Adolf Hitler était rigoureuse, appuyée sur une documentation précise et sérieuse. Adolf Hitler est un Allemand et un panthéiste : ses textes contiennent presque toujours une référence à la divinité créatrice. Toutefois, les discours de guerre sont moins encombrés de métaphysique que ceux des années 1920-1938.
Désinformation - flagrant...
24 mars 1999 : les forces de l'OTAN commencent à bombarder la Serbie.Son crime ? Avoir refusé de signer un texte préparé par les Américains. La teneur exacte de ce texte ? On la cache aux journalistes. Cela ne les empêche pas de soutenir majoritairement l'intervention armée. Et une grande partie de l'opinion publique emboîte le pas. Voilà l'expression parfaite d'une opération de désinformation réussie. Avec la rigueur qu'on lui connaît, Vladimir Volkoff passe au crible l'enchaînement d'événements qui ont permis le succès d'une telle opération.Il en démonte les rouages et met en lumière ses articulations essentielles, tirant les conclusions inquiétantes de ce nouvel état de fait. Une question se pose dès lors : à qui le tour ?
La Régence italienne du...
La tentative, par Gabriele D’Annunzio, de donner une constitution révolutionnaire à la ville de Fiume n’eut pas de lendemain. Elle fut étouffée dans l’oeuf. Ni les capitalistes, ni les communistes n’avaient intérêt à laisser s’instaurer, fût-ce dans les étroites limites de la régence du Carnaro, un nouvel état de choses qui risquait de faire tache d’huile et de se répandre au dehors. Les historiens qui analysent l’équipée de Fiume n’ont mis en avant que le heurt des revendications territoriales italo-yougoslaves, le conflit des délégués avec les chefs de l’Entente à la Conférence de Paris, le duel de D’Annunzio avec le gouvernement de Rome. Mais cela suffit-il à tout expliquer ?
Jacques Benoist-Méchin
Mon journal des temps de...
Roberto Farinacci, dit « le Ras de Crémone », fut un des fondateurs des Faisceaux italiens de combat et leur organisateur dans le Nord de l’Italie.
Son Journal des temps de lutte et de victoire, que l’on peut comparer à Combat pour Berlin de Joseph Goebbels relate l’action qu’il mena de la réunion fondatrice des Faisceaux, place du Saint Sépulcre à Milan, jusqu’à la Marche sur Rome contre les rouges et pour la grandeur de l’Italie. À ce titre, c’est un document historique important qui était cependant, jusqu’à maintenant, resté inédit en français.