Le Mensonge d'Ulysse -...
L'ouvrage qui lança le révisionnisme historique. Un classique incontournable.
« Dans la nuit, au midi de notre pays, cent navires se sont échoués, chargés d'un million d'immigrants. Ils viennent chercher l'espérance. Ils inspirent la pitié. Ils sont faibles... Ils ont la puissance du nombre. Ils sont l'Autre, c'est-à-dire multitude, l'avant-garde de la multitude. À tous les niveaux de la conscience universelle, on se pose alors la question : que faire ? Il est trop tard.
Paru pour la première fois en 1973, Le Camp des Saints, qui est un roman, relève en 2011 de la réalité. Nous sommes, tous, les acteurs du Camp des Saints. C'est notre destin que ce livre raconte, notre inconscience et notre acquiescement à ce qui va nous dissoudre.»
J. R.
L'ouvrage qui lança le révisionnisme historique. Un classique incontournable.
L'auteur a été le premier à apporter une vue globale sur la question. Un classique, doublé d'un best-seller, traduit en de nombreuses langues.
152 p.
Rédigé en 1930 par Alfred Rosenberg, théoricien et homme politique allemand, figure du national-socialisme, condamné à mort et exécuté en 1946. Convaincu que la crise de l’Europe durant cette période résultait d’une conspiration occulte des juifs et des francs-maçons, il publia ce livre qui constitue une synthèse des théories racistes, d’inspiration violemment antichrétienne.
Traduit de l’Allemand par Adler von Scholle
Bilan des combats culturels et spirituels de notre temps
Publié à un moment d’intense activité intellectuelle en Europe, Le mythe du XXe siècle constitue un document essentiel de l’histoire des idées. Les réflexions de son auteur ont non seulement influencé le régime allemand, mais également une pléiade d’auteurs politiques.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
Introduction au remplacisme global.
Le Grand Remplacement n’est ni une théorie ni un complot. C’est un état de fait observable dans la plupart des pays occidentaux. Tout le monde le voit, sauf les démographes. Tout le monde en parle, sauf les journalistes. Tout le monde s’en effraie, sauf les politiques. Les plus audacieux l’évoquent à demi-mots. Partout le déni, l’autocensure ou simplement la peur. Comme si le réel n’avait pas lieu.
« Ils ont des yeux et ne voient pas. » Terrible cécité. Il y avait un peuple, il y en a un autre. C’est le même administrativement ; ce n’est plus le même historiquement, culturellement, ethniquement, religieusement.
L’origine paléolithique de l’ethnie indo-européenne, attestée par l’existence, entre – 40 000 et – 15 000 ,en Europe et dans les régions périphériques du sud, d’une grande unité linguistique < l’européen primitif (« Ureuropäisch ») < est la thèse que développe cet ouvrage devenu un classique des études indo-européennes. Son auteur Lothar Kilian né en 1911 à Könisberg est mort à l’âge de 89 ans. En publiant pour la première fois une traduction française de ce livre, les Éditions du Labyrinthe lui rendent hommage, permettant ainsi aux Européens d’aujourd’hui de se familiariser avec leurs lointains ancêtres.
Préface de Jean Haudry