

A partir de 1889, en France, des militants nationalistes entreprirent d’agir en étroite collaboration avec des cadres socialistes. La Cocarde, journal « socialiste national » dirigé par Maurice Barrès, incarna cette tentative de rassemblement entre des forces politiques qui semblaient à première vue opposées.
Sous l’impulsion du futur académicien, ce journal se fit le porte-parole de l’opposition au monde bourgeois, au parlementarisme, à la société industrielle et il prôna le rassemblement de tout ceux qui appartenaient au « front du refus » : socialistes, antisémites de gauche, nationalistes, anciens boulangistes.
Peu de chercheurs ont abordé l’histoire des relations qui, après la Première Guerre mondiale, s’établirent entre les gouvernements italiens et allemands et quelques partisans des mouvements de libération arabes et islamiques du tiers-monde, en particulier ceux d’Afrique septentrionale et du Moyen-Orient. Dans le présent ouvrage, fruit d’un long travail d’enquête dans les archives de nombreux pays, se dessine un tableau inédit des étapes de la politique de collaboration qui se développa entre les puissances de l’Axe et les principaux interlocuteurs du nationalisme arabe, notamment en Palestine et en Irak.
Dans une première partie, « Le fascisme, le national-socialisme et la décolonisation », est analysée la période qui s’écoule du milieu des années trente à 1945.
Le cinéma subversif est une notion qui, avancée comme telle, veut tout et rien dire. Si nous nous faisons une idée relativement commune de ce qu’est le cinéma, l’accord est moins évident lorsqu’il s’agit de définir ce qui y fait subversion. Généralement indiqué dans un contexte militaire et politique, le subversif investit également le champ de l’art et plus particulièrement le champ de l’art cinématographique. L’acte subversif au cinéma est une histoire de contextes socioculturels et géopolitiques déterminés. De ce point de vue, norme et subversion de la norme diffèrent selon que nous soyons dans l’Espagne des années 1920, dans le Sénégal des années 1970 ou encore dans la France des années 2010.
Et si l’on nous avait menti sur toute la ligne. Si l’homme le plus diabolisé de l’histoire humaine fut en réalité le négatif photographique de ce monstre de Frankenstein, de cet épouvantail à Goyim qui, aujourd’hui plus que jamais, incarne le mal absolu aux yeux de l’écrasante majorité de nos contemporains pris en étau dans cet infernal mensonge. Mensonge, assurance-vie et incommensurable rente tout à la fois pour ses diaboliques instigateurs, qui s’est peu à peu mué en religion ultime, forgé qu’il fut à travers une machiavélique malversation mémorielle d’ampleur inédite.
Dans un petit livre aux finitions luxueuses, la journaliste Olivia de Fournas partage des conseils pour donner une âme à sa maison. À la fois intime, pratique et ancré dans une foi rayonnante, ce livre sera le cadeau parfait pour des hôtes.
Carnet de chants nationalistes
Ce carnet de chants regroupe pas moins de 110 chants nationalistes français et aussi quelques chants nationalistes étrangers.
« Le chant nous offrait le seul moyen de manifester
la profondeur de notre état d’âme. Nos coeurs
s’épanouissaient joyeux en chantant les vieilles
chansons chères à notre peuple. […] Si vous ne
pouvez pas chanter, c’est qu’une maladie vous
ronge au plus profond de votre être, ou bien que la
vie a noirci de péchés votre âme innocente. Et si
vous ne pouvez guérir, effacez-vous et laissez la
place à ceux qui sont capables de chanter. »
Corneliu Zelea Codreanu.
« La famille, voilà donc l’école naturelle de l’enfant, l’école providentielle, divine, nécessaire, obligatoire, le moule où il doit recevoir l’empreinte et se former. Toute autre école est arbitraire, factice, artificielle ; c’est élever un enfant au biberon quand les mamelles de la mère sont gonflées de lait, c’est jouer sa vie morale, je veux dire son éducation, et l’éducation comprend, on vient de le voir, le corps, l’esprit et l’âme, et si la pratique nous montre que la plupart des enfants élevés au biberon périssent de corps, cette même pratique nous montre bien mieux encore que la plupart des enfants élevés artificiellement hors de la maison paternelle périssent de corps, d’esprit et d’âme, c’est-à-dire perdent la santé, les principes et la grâce. »