

« La famille, voilà donc l’école naturelle de l’enfant, l’école providentielle, divine, nécessaire, obligatoire, le moule où il doit recevoir l’empreinte et se former. Toute autre école est arbitraire, factice, artificielle ; c’est élever un enfant au biberon quand les mamelles de la mère sont gonflées de lait, c’est jouer sa vie morale, je veux dire son éducation, et l’éducation comprend, on vient de le voir, le corps, l’esprit et l’âme, et si la pratique nous montre que la plupart des enfants élevés au biberon périssent de corps, cette même pratique nous montre bien mieux encore que la plupart des enfants élevés artificiellement hors de la maison paternelle périssent de corps, d’esprit et d’âme, c’est-à-dire perdent la santé, les principes et la grâce. »
Le cinéma subversif est une notion qui, avancée comme telle, veut tout et rien dire. Si nous nous faisons une idée relativement commune de ce qu’est le cinéma, l’accord est moins évident lorsqu’il s’agit de définir ce qui y fait subversion. Généralement indiqué dans un contexte militaire et politique, le subversif investit également le champ de l’art et plus particulièrement le champ de l’art cinématographique. L’acte subversif au cinéma est une histoire de contextes socioculturels et géopolitiques déterminés. De ce point de vue, norme et subversion de la norme diffèrent selon que nous soyons dans l’Espagne des années 1920, dans le Sénégal des années 1970 ou encore dans la France des années 2010.
Peu de chercheurs ont abordé l’histoire des relations qui, après la Première Guerre mondiale, s’établirent entre les gouvernements italiens et allemands et quelques partisans des mouvements de libération arabes et islamiques du tiers-monde, en particulier ceux d’Afrique septentrionale et du Moyen-Orient. Dans le présent ouvrage, fruit d’un long travail d’enquête dans les archives de nombreux pays, se dessine un tableau inédit des étapes de la politique de collaboration qui se développa entre les puissances de l’Axe et les principaux interlocuteurs du nationalisme arabe, notamment en Palestine et en Irak.
Dans une première partie, « Le fascisme, le national-socialisme et la décolonisation », est analysée la période qui s’écoule du milieu des années trente à 1945.
Découvrez cet authentique et éternel ouvrage catholique paru en 1893.
Cette splendide édition *Prestige* contient 69 planches issues du Grand Catéchisme en Images ; et leurs explications en vis à vis fidèlement reproduites (IMPRIMATUR 1908).
Les images du Catéchisme sont comprises de tous ceux qui les regardent. Cette méthode d’explication de l’Ancien et du Nouveau Testament est aussi bonne qu’une série de sermons des plus éloquents.
Par cet ouvrage, publié initialement en 1877, Mgr Gaume traverse les siècles et les peuples, pour nous faire entendre ce cri de guerre, ce cri sanguinaire « mort au cléricalisme » – terme qui signifie d’ailleurs catholicisme, mais employé pour le salir et le mépriser -, et qui retentit aux quatre vents.
L’adoration du Veau d’Or, commença lorsque Satan, en singe de Dieu, voulut ses propres sacrifices. Haine du Christ, Adoration du Démon.
Dans un petit livre aux finitions luxueuses, la journaliste Olivia de Fournas partage des conseils pour donner une âme à sa maison. À la fois intime, pratique et ancré dans une foi rayonnante, ce livre sera le cadeau parfait pour des hôtes.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
Dans l’histoire de l’humanité, nul bien de consommation n’a colonisé la vie
des hommes aussi prestement que la télévision. En un quart de siècle, la
proportion d’individus lisant 20 livres par an a fléchi de près de 50 % tandis que
le nombre de spectateurs consacrant 3 heures par jour à la télévision s’est accru
de plus d’un tiers.
Fait plus préoccupant encore, la consommation audiovisuelle précoce engendre
une altération de la formation du cerveau infantile avec des conséquences
sur sa santé, sa scolarité et ses relations sociales… Si la télévision est dangereuse
pour les enfants, elle l’est aussi pour les adultes. Et le phénomène s’amplifie avec
l’utilisation toujours plus importante d’Internet, de la tablette, du smartphone,
de l’Iphone, etc.