

Ce livre est une analyse du surprenant témoignage de Szymon Laks, musicien dans l'orchestre de Birkenau, qui offre une vision de la vie dans les camps bien différente de celle en noir et blanc que brossent les défenseurs de la thèse officielle.
La présente étude est née de la lecture de Musiques d'un autre monde, témoignage sur Auschwitz écrit par Szymon Laks et publié en 1948.
Certaines informations contenues dans ce livre étaient si surprenantes que l'auteur voulut les recouper avec d'autres documents. Ce travail était nécessaire pour répondre à l'objection que formulent habituellement les défenseurs de la thèse officielle quand on leur présente un témoignage qui contredit leur vision de l'Holocauste: «C'est une exception, donc cela n'a aucune valeur», répondent-ils.
Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir lutter contre le mondialisme en laissant de côté le problème de l'“Holocauste”. Dans une brillante analyse, Vincent Reynouard constate que le délit de “provocation à la haine raciale” est né au premier procès de Nuremberg…
L’analogie-déduction permet de susciter chez de nombreux électeurs un refus définitif de la droite nationale. Elle rend vains tous les efforts de «dédiabolisation» tentés par ses chefs.
Comment fonctionne-t-elle et, à partir de cette connaissance, comment la contrer ? Cette brochure fournit le réponses. Un outil essentiel que tout militant nationaliste doit posséder afin de pouvoir neutraliser l’analogie-déduction.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
A partir de 1889, en France, des militants nationalistes entreprirent d’agir en étroite collaboration avec des cadres socialistes. La Cocarde, journal « socialiste national » dirigé par Maurice Barrès, incarna cette tentative de rassemblement entre des forces politiques qui semblaient à première vue opposées.
Sous l’impulsion du futur académicien, ce journal se fit le porte-parole de l’opposition au monde bourgeois, au parlementarisme, à la société industrielle et il prôna le rassemblement de tout ceux qui appartenaient au « front du refus » : socialistes, antisémites de gauche, nationalistes, anciens boulangistes.