

Ce livre est une analyse du surprenant témoignage de Szymon Laks, musicien dans l'orchestre de Birkenau, qui offre une vision de la vie dans les camps bien différente de celle en noir et blanc que brossent les défenseurs de la thèse officielle.
La présente étude est née de la lecture de Musiques d'un autre monde, témoignage sur Auschwitz écrit par Szymon Laks et publié en 1948.
Certaines informations contenues dans ce livre étaient si surprenantes que l'auteur voulut les recouper avec d'autres documents. Ce travail était nécessaire pour répondre à l'objection que formulent habituellement les défenseurs de la thèse officielle quand on leur présente un témoignage qui contredit leur vision de l'Holocauste: «C'est une exception, donc cela n'a aucune valeur», répondent-ils.
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard présente les transformations opérées en France quand le national-socialisme y fut appliquée comme principe de gouvernement…
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
A partir de 1889, en France, des militants nationalistes entreprirent d’agir en étroite collaboration avec des cadres socialistes. La Cocarde, journal « socialiste national » dirigé par Maurice Barrès, incarna cette tentative de rassemblement entre des forces politiques qui semblaient à première vue opposées.
Sous l’impulsion du futur académicien, ce journal se fit le porte-parole de l’opposition au monde bourgeois, au parlementarisme, à la société industrielle et il prôna le rassemblement de tout ceux qui appartenaient au « front du refus » : socialistes, antisémites de gauche, nationalistes, anciens boulangistes.
Pendant l’un de ses cours au collège de Lemberg, Jean- Louis Berger démontra qu’une photographie de cadavres dans un camp de concentration allemand pouvait aisément passer pour une preuve de l’Holocauste, alors que les cadavres en question étaient ceux de victimes d’un bombardement allié.
Jean-Louis Berger a tenté d’éveiller l’esprit critique de ses élèves: pour l’Éducation nationale, c’était inadmissible! Rien que la révocation, les amendes et les peines de prison n’étaient capable d’expier son forfait : on le lui fit bien voir