Le national-socialisme est...
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard présente les transformations opérées en France quand le national-socialisme y fut appliquée comme principe de gouvernement…
Ce livre est une analyse du surprenant témoignage de Szymon Laks, musicien dans l'orchestre de Birkenau, qui offre une vision de la vie dans les camps bien différente de celle en noir et blanc que brossent les défenseurs de la thèse officielle.
La présente étude est née de la lecture de Musiques d'un autre monde, témoignage sur Auschwitz écrit par Szymon Laks et publié en 1948.
Certaines informations contenues dans ce livre étaient si surprenantes que l'auteur voulut les recouper avec d'autres documents. Ce travail était nécessaire pour répondre à l'objection que formulent habituellement les défenseurs de la thèse officielle quand on leur présente un témoignage qui contredit leur vision de l'Holocauste: «C'est une exception, donc cela n'a aucune valeur», répondent-ils.
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard présente les transformations opérées en France quand le national-socialisme y fut appliquée comme principe de gouvernement…
Loin d’être un système « neutre », la démocratie est au contraire intrinsèquement perverse : elle ne peut servir le Bien commun que dans la mesure où ceux qui en usent ne le font que pour la subvertir, et l’annoncent ouvertement. On ne peut être de droite, de vraie droite, de droite radicale, et consentir à jouer la carte démocratique, que si l’on commence par dénoncer les vices qui sont consubstantiels à toute démocratie. On ne peut efficacement enrayer, par le mode d’action démocratique, les effets pervers de la démocratie, ou faire jouer la démocratie contre elle-même, que si l’on commence par se proposer, explicitement, de la détruire.
En national-socialiste spiritualiste, Vincent Reynouard apporte une réponse déroutante à la «question juive» pour mener un combat positif sans jamais désespérer…
Cette brochure aborde la question de la condition de l’ouvrier dans le Troisième Reich à travers un texte et un reportage photographique écrits et réalisés à l’époque de la guerre:
– Pourquoi l’ouvrier allemand est-il pour Adolf Hitler? Étude de Hans Munter;
– L’ouvrier allemand: Reportage photographique de Harald Jahrl.
Le succès du national-socialisme a répondu à une transformation générale des conditions de la vie dans le monde. C'est ce qu'explique René Martel dans ce brève exposé.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
Le 15 février 1944, en quelques heures à peine, la vénérable abbaye du Mont-Cassin fut anéantie par l'aviation alliée. «453 tonnes de bombes ont été lâchées, en huit vagues successives, par 239 bombardiers.» Fort heureusement, tous les trésors inestimables que contenait cette très ancienne abbaye — objets religieux, reliques, livres, manuscrits, incunables, sans compter des tableaux de maîtres venus de Naples pour y être en lieu sûr pendant la guerre - avaient été évacués quelques semaines plus tôt.
Ce que l'on omet de rappeler de nos jours, c'est que tous ces précieux témoins de la civilisation occidentale avaient été évacués par les Allemands.
Cet ouvrage donne le récit de cette incroyable opération de sauvetage dont nous sommes tous redevables encore aujourd'hui.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»