![](https://arts-enracines.fr/1004-large_default/j-etais-dans-l-orchestre-de-birkenau-vincent-reynouard.jpg)
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Ce livre est une analyse du surprenant témoignage de Szymon Laks, musicien dans l'orchestre de Birkenau, qui offre une vision de la vie dans les camps bien différente de celle en noir et blanc que brossent les défenseurs de la thèse officielle.
La présente étude est née de la lecture de Musiques d'un autre monde, témoignage sur Auschwitz écrit par Szymon Laks et publié en 1948.
Certaines informations contenues dans ce livre étaient si surprenantes que l'auteur voulut les recouper avec d'autres documents. Ce travail était nécessaire pour répondre à l'objection que formulent habituellement les défenseurs de la thèse officielle quand on leur présente un témoignage qui contredit leur vision de l'Holocauste: «C'est une exception, donc cela n'a aucune valeur», répondent-ils.
Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir lutter contre le mondialisme en laissant de côté le problème de l'“Holocauste”. Dans une brillante analyse, Vincent Reynouard constate que le délit de “provocation à la haine raciale” est né au premier procès de Nuremberg…
Pendant l’un de ses cours au collège de Lemberg, Jean- Louis Berger démontra qu’une photographie de cadavres dans un camp de concentration allemand pouvait aisément passer pour une preuve de l’Holocauste, alors que les cadavres en question étaient ceux de victimes d’un bombardement allié.
Jean-Louis Berger a tenté d’éveiller l’esprit critique de ses élèves: pour l’Éducation nationale, c’était inadmissible! Rien que la révocation, les amendes et les peines de prison n’étaient capable d’expier son forfait : on le lui fit bien voir
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Les lecteurs de l’éminent professeur Hans F. K. Günther ignorent bien souvent que ce dernier entreprit des études d’ethnographe à Paris durant l’année 1911. C’est en partie grâce à ce passé d’étudiant parisien que lui vint la détermination pour rédiger le présent ouvrage près d’une trentaine d’années plus tard.
Loin d’être un simple survol des différents types d’union qui régissent l’Humanité, ce travail ethnologico-sociologique englobe tous les éléments afférents au mariage : interdictions et règles matrimoniales, formes de la conclusion du mariage, influence des formes du mariage sur la sélection, formes de la famille et de la parenté, etc.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
A partir de 1889, en France, des militants nationalistes entreprirent d’agir en étroite collaboration avec des cadres socialistes. La Cocarde, journal « socialiste national » dirigé par Maurice Barrès, incarna cette tentative de rassemblement entre des forces politiques qui semblaient à première vue opposées.
Sous l’impulsion du futur académicien, ce journal se fit le porte-parole de l’opposition au monde bourgeois, au parlementarisme, à la société industrielle et il prôna le rassemblement de tout ceux qui appartenaient au « front du refus » : socialistes, antisémites de gauche, nationalistes, anciens boulangistes.