
Les jeux olympiques de...
Vincent Reynouard dissipe les légendes malveillantes qui entourent les JO de Berlin, à commencer par celles qui concernent la victoire de Jesse Owens…
Loin d’être un système « neutre », la démocratie est au contraire intrinsèquement perverse : elle ne peut servir le Bien commun que dans la mesure où ceux qui en usent ne le font que pour la subvertir, et l’annoncent ouvertement. On ne peut être de droite, de vraie droite, de droite radicale, et consentir à jouer la carte démocratique, que si l’on commence par dénoncer les vices qui sont consubstantiels à toute démocratie. On ne peut efficacement enrayer, par le mode d’action démocratique, les effets pervers de la démocratie, ou faire jouer la démocratie contre elle-même, que si l’on commence par se proposer, explicitement, de la détruire.
Vincent Reynouard dissipe les légendes malveillantes qui entourent les JO de Berlin, à commencer par celles qui concernent la victoire de Jesse Owens…
Le succès du national-socialisme a répondu à une transformation générale des conditions de la vie dans le monde. C'est ce qu'explique René Martel dans ce brève exposé.
Editorial : Le principe d’autonomie, notre couteau suisse.
Actualité : « Le talentueux monsieur Musk » Entretien avec Faits et Documents ( Elisabbeth Heine).
Stratégie et organisation : Le cas d’école du régiment Azov ( AB)
Alternative : L’anarcho-primitivisme, une critique radicale de la civilisation ( Julie).
Honneur et fidélité : Hiro Onoda, seul dans la jungle.
Histoire : le Voyage des enfants du soleil. Entretien avec Gordon Kennedy.
Lecture (in)actuelles : Au delà du principe de plaisir de Freud (Alexandra Arcès).
Ce livre présente le témoignage extraordinaire de Marie Ponsart, ancienne rexiste partie volontairement travailler en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les livres d’histoire contemporains enseignent que, pendant l’entre-deux-guerres, les idéaux de justice et de progrès étaient défendus par les partisans du régime parlementaire et les communistes : eux seuls cherchaient le bien de l’Humanité. Dès lors, leurs opposants, et notamment les nationalistes, ne pouvaient être animés que de sentiments de haine et défendre des idéaux de mort : les crimes imputés aux fascistes italiens et aux nationaux-socialistes allemands n’en sont-ils pas la meilleure preuve ?
Entretiens avec Nicolas Gauthier.
Trop d’information tue l’information. C’est la règle des systèmes saturés : ils deviennent de plus en plus illisibles.
Ainsi de l’inflation d’« informations ». Celles-ci ne reposent plus alors que sur la vitesse et l’oubli, l’une étant la condition de l’autre. Comment faire le tri, comment démêler le vrai du faux, comment isoler le pertinent de l’insignifiant ? En un mot, comment s’informer ? C’est la gageure d’Alain de Benoist dans ces pages : voir en quoi et de quelle manière l’actualité fait sens, au-delà de son obsolescence programmée. Soutenue par une
analyse fine et solidement argumentée, ce recueil d’entretiens passe au crible les événements majeurs ou mineurs, mais toujours significatifs, de notre temps.
Cette brochure présente quelques aspects de la vie dans le Troisième Reich tels que le journaliste français Rudy Cantel a pu les observer lors d’un voyage en 1943.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard raconte son arrestation et son incarcération à Fleury-Mérogis.
Vivant et détaillé, son témoignage permet au lecteur de pénétrer dans la plus grande prison d’Europe et de découvrir l’envers du système judiciaire français.
L’auteur émaille son récit de réflexions personnelles inédites qui apportent un éclairage inattendu et enrichissant pour tout militant.