Loin d’être un système « neutre », la démocratie est au contraire intrinsèquement perverse : elle ne peut servir le Bien commun que dans la mesure où ceux qui en usent ne le font que pour la subvertir, et l’annoncent ouvertement. On ne peut être de droite, de vraie droite, de droite radicale, et consentir à jouer la carte démocratique, que si l’on commence par dénoncer les vices qui sont consubstantiels à toute démocratie. On ne peut efficacement enrayer, par le mode d’action démocratique, les effets pervers de la démocratie, ou faire jouer la démocratie contre elle-même, que si l’on commence par se proposer, explicitement, de la détruire.
Au sommaire du numéro 100 :
Editorial :
« Rendre possible Ce qui est nécessaire » ( Louis Alexandre)
Héritage :
Les Orientations Nationales Bolchéviques ( Jean Galié)
Les idées-forces du National-bolchevisme ( Axel Nrnak)
Un socialisme pour le XXIème siècle :
Patrie et socialisme : L’idée nationale à réinventer ( Louis Alexandre)
Non à la gauche, oui au socialisme ( Charles Robin)
L’esprit de communauté, c’est le socialisme en pratique ( Louis Alexandre)
Pour des communautés populaires autonomes et offensive ! ( Louis Alexandre)
Terrains de lutte
Réflexion sur la vie en communauté
Parole d’une gilet jaune ( Camille Mordelynch)
La France éclatée : les cités ( Louis Alexandre)
Entretien sur la violence avec Thibault Isabel
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Entretiens avec Nicolas Gauthier.
Trop d’information tue l’information. C’est la règle des systèmes saturés : ils deviennent de plus en plus illisibles.
Ainsi de l’inflation d’« informations ». Celles-ci ne reposent plus alors que sur la vitesse et l’oubli, l’une étant la condition de l’autre. Comment faire le tri, comment démêler le vrai du faux, comment isoler le pertinent de l’insignifiant ? En un mot, comment s’informer ? C’est la gageure d’Alain de Benoist dans ces pages : voir en quoi et de quelle manière l’actualité fait sens, au-delà de son obsolescence programmée. Soutenue par une
analyse fine et solidement argumentée, ce recueil d’entretiens passe au crible les événements majeurs ou mineurs, mais toujours significatifs, de notre temps.
Au sein de la droite nationale, on se dispute sur le cas Zemmour : certains croient en lui, d’autres le qualifient de marionnette du Système…
Cet ouvrage s’adresse à tous les militants soucieux de sauver la France et, au-delà, la civilisation européenne, du mondialisme dissolvant. Bien que tourné vers le futur, leur combat nécessite de rétablir la vérité historique concernant les années 1930.
Dans cette conférence en image, je le démontre en m’appuyant sur de nombreux documents très divers (livres, articles, reportages…).
Pour moi, l’affaire est simple : si Éric Zemmour souhaite vraiment défendre la France charnelle, alors il devra prendre parti pour la vérité historique concernant les années 1930.
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard présente les transformations opérées en France quand le national-socialisme y fut appliquée comme principe de gouvernement…
Cette brochure présente quelques aspects de la vie dans le Troisième Reich tels que le journaliste français Rudy Cantel a pu les observer lors d’un voyage en 1943.
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard raconte son arrestation et son incarcération à Fleury-Mérogis.
Vivant et détaillé, son témoignage permet au lecteur de pénétrer dans la plus grande prison d’Europe et de découvrir l’envers du système judiciaire français.
L’auteur émaille son récit de réflexions personnelles inédites qui apportent un éclairage inattendu et enrichissant pour tout militant.