Le national-socialisme est...
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard présente les transformations opérées en France quand le national-socialisme y fut appliquée comme principe de gouvernement…
Une théorie du coup d’Etat datant de 1868 par un homme qui inspira tant Lénine que Mussolini.
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard présente les transformations opérées en France quand le national-socialisme y fut appliquée comme principe de gouvernement…
Nous sommes catholique, et nous sommes fasciste. Mais surtout, nous sommes catholique et fasciste. Le « et » est ici le plus important. Car, si nous concevons l’ordre naturel et l’ordre surnaturel comme deux ordres réellement distincts, nous ne les comprenons cependant pas comme deux ordres séparés. De sorte que notre fascisme n’a d’autre raison suffisante que notre catholicisme. Tout se tient, car le réel est un ; notre pensée prend la forme d’un système, car le réel est lui-même systématique.
Le Soldat politique (The Political Soldier), initialement publié en Angleterre en 1984, est un classique du nationalisme contemporain. Traduit en plusieurs langues, il n’avait jusqu’à ce jour, de manière étonnante, jamais fait l’objet d’une édition française. Son auteur, Derek Holland, était à l’époque l’une des figures de proue du Front national britannique. Si le contexte a évidemment beaucoup changé, la Révolution nationale qu’il appelait alors de ses vœux est plus que jamais nécessaire pour sauver les nations européennes. Mais, aujourd’hui comme hier, elle ne sera rendue possible, ainsi que l’expose Derek Holland, que si elle est précédée d’une révolution spirituelle et morale, une révolution que chaque militant nationaliste se doit d’abord d’opérer en lui-même.
Alphonse de Chateaubriant connut le succès et la disgrâce avec ce livre qui fut un grand succès de librairie à son époque. En nous livrant ses impressions sur l'Allemagne des années trente, il ne se doutait pas de la tempête qui allait se soulever contre lui.
Les honnêtes gens n’ont de cesse de dénoncer la perfidie des révolutionnaires (la progéniture de 89 et de Vatican II), tout en soulignant le grotesque de leurs thèses. Si, par-delà leur capacité d’échauffer les passions, ces thèses n’étaient douées d’un pouvoir efficace de susciter l’adhésion intellectuelle, elles ne jouiraient ni de l’aptitude à faire s’écrouler le monde spirituel et politique fondé sur le bon sens et dont nos bien-pensants navrés cultivent la nostalgie, ni du pouvoir d’empêcher la résurrection d’un tel monde. Or l’intelligence en tant qu’intelligence ne peut être séduite que par la vérité. Si donc elle est emportée par la puissance des doctrines fausses, c’est que ces dernières sont porteuses de vérités captives qu’elles confisquent et dénaturent.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Le mondialisme satanique est l’horizon de plus en plus visible de l’histoire contemporaine frénétiquement secouée par des aspirations eschatologiques dévoyées, vécues sur le mode d’un collapsus mortifère de toutes les identités nationales traditionnelles. Le mondialisme est satanique parce qu’il est la forme politique que se donne l’homme révolté pour procéder à une réalisation terrestre du Souverain Bien, c’est-à-dire du Royaume qui pourtant, par essence, n’est pas de ce monde. L’imminence d’un tel danger invite les croyants, les patriotes et plus généralement tous les hommes de bonne volonté attachés à l’ordre des choses, à se tourner, pour le conjurer, vers des solutions exclusivement non politiques (telle la prière).