

Comment Saint Louis est-il devenu la figure la plus admirée de l’histoire de France ? Il a été, au XIIIe siècle, le maître incontesté de toute la chrétienté. Son amour de la paix et de la justice en feront un souverain, déjà de son vivant, au prestige moral incontesté. Celui qui reçut une éducation si exigeante de la part de sa mère Blanche de Castille a passé sa vie guidé par deux livres : les Évangiles et les Psaumes. Saint Louis défendit également une cause qui était celle de toute l’Europe chrétienne : la croisade. Par ses voyages outre-mer, il voulut reconquérir Jérusalem, défendre les chrétiens présents en Terre sainte contre les attaques musulmanes et convertir les infidèles à la foi catholique. Tous ses choix, privés comme publics, n’avaient que Dieu comme finalité.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Saint Jacques, Apôtre du Christ, un des premiers martyrs de la foi est vénéré à Compostelle, en Espagne, où il a son tombeau, but d'un très célèbre pèlerinage qui, naguère un peu délaissé, retrouve à présent une grande affluence de pèlerins venus des quatre coins du monde.
Une homme, sa femme et deux enfants entreprennent ce pèlerinage, conduits par un guide mystérieux accompagné d'un âne. Qui est donc cet homme aux façons étranges qui ne veut pas dire son nom ?
Ce livre révèle beaucoup de choses que l'on doit connaître tant sur saint Jacques que sur son pèlerinage, avec beaucoup d'humour et sous la forme d'un roman d'aventures d'une famille comme tout le monde, sur les chemins du pèlerinage si connu.
De la tour de Babel à la théorie du genre, le même projet totalitaire traverse les siècles : faire table rase de toutes les différences qui structurent le genre humain (sexe, appartenance à un province, une nation ou à une civilisation) pour ériger un homme nouveau. Avortement, PMA-GPA, loi Taubira, mondialisation sauvage et Grand remplacement : ces phénomènes mortifères ne sont que les multiples têtes d'un nouvel hydre de Lernes. Tranchez une tête et une deuxième repousse aussitôt.
C'est pourquoi Julien Langella lance un appel aux catholiques et à tous les hommes de bonne volonté : contre les apprentis sorciers qui veulent redessiner les contours de l'humanité, il faut engager une résistance totale. Soyons cohérents : il faut passer de la Manif pour tous à la reconquête intégrale.
La Normandie est riche de forêts : Écouves, Perseigne et Bellême pour n'en citer que quelques-unes. La Varende évoque aussi les landes bretonnes où l'on chassait encore le loup au siècle dernier. Pour un gentilhomme campagnard comme lui, les chevaux, les chiens, la chasse à courre y trouvent leur place. Sans oublier la plaine grasse des labours d'automne d'où jaillissent les vols de l'alouette et de la perdrix rouge et les grands lièvres hauts sur jarrets qui s'ensauvent droit devant et que le regard poursuit jusqu'à la ligne de l'horizon. Dans ces Contes des plaines et des bois, récits inédits en librairie, l'auteur évoque ses souvenirs de jeunesse, les vieilles demeures où vivaient des personnages originaux et hauts en couleur qu'il a rencontrés durant sa vie à la campagne.
Au sommaire : Le révisionnisme historique devant les tribunaux français. – Le ghetto de Varsovie : insurrection ou opération de police ? – Primo Levi sur Auschwitz. – Les témoins des chambres à gaz d’Auschwitz. – Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler. – Milices juives : quinze ans et plus de terrorisme en France. – Combien de morts à Auschwitz ? – Bilan de l’affaire Garaudy/abbé Pierre. – Questions à l’Unesco au sujet d’Auschwitz. Etc.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.