Les litanies de saint Joseph
"Ite ad Joseph, et quidquid ipse vobis dixerit, facite". Allez à Joseph, et tout ce qu'il vous dira, faites-le.
"Ite ad Joseph, et quidquid ipse vobis dixerit, facite". Allez à Joseph, et tout ce qu'il vous dira, faites-le.
Si l'Empire de Napoléon disparut en peu de temps, la matrice institutionnelle impériale conçue par Bonaparte survécut à sa mort. L'Empire fut en réalité le premier laboratoire industriel de la domination absolue : un monde au sein duquel la concentration de l'initiative créatrice au sommet ne laissait aux grands subordonnés que le rôle de pâles exécutants. Par la volonté de Bonaparte, l'Europe fut mise en fiches, qu'il s'agisse des acteurs clefs ou bien des ressources stratégiques. Un système d'information élaboré permettait de réactualiser ces données en permanences, assurant au général en chef une vision actualisée du paysage politique. Cet outil était propre à lui faciliter la domination militaire.
En 2020, au Forum de Davos, son fondateur Klaus Schwab et le prince Charles de Galles ont annoncé un nouveau cours pour l’humanité, le Great Reset, la Grande Réinitialisation.
Dans ce livret, Alexandre Douguine analyse ce projet, trace sa généalogie et propose une contre-attaque qu’il structure en un texte : Le Manifeste du Grand Réveil.
D'où vient cet appel qui, chaque année, invite Claire Colette à s'en aller sur les sentiers de France? Lors de sa première marche de Louvain-la-Neuve (Belgique) à Compostelle, elle a guéri de sa fibromyalgie. Depuis, elle éprouve le besoin de revenir périodiquement sur ces chemins qui donnent du sens à sa vie. C'est ainsi qu'elle a découvert la Via arverna (voie d'Auvergne), de Clermont-Ferrand à Rocamadour. Une voie méconnue vers Compostelle, d'autant plus éprouvante qu'elle l'a parcourue en automne. Elle y a vécu les caprices d'une météo rude: la pluie, le brouillard et les rafales de vent l'ont éprouvée. Mais elle a aussi savouré des moments de douceur, des paysages éblouissants, des rencontres chaleureuses.
Par une nuit de tempête sur le front de Lorraine en 1914, un étudiant, volontaire de guerre, griffonne les premiers vers de ce qui va devenir un des plus fameux chants d’Europe : « Les oies sauvages… » (devenu par les vicissitudes de l’histoire hymne du feu 1er REP). C’est également le début d’un des ouvrages allemands les plus populaires de la Première Guerre mondiale. Dans le havresac des soldats, ce journal de guerre côtoie Nietzsche, Schopenhauer ou Löns. C’est que Le pèlerin entre deux mondes est un hymne passionné à l’esprit des Wandervögel (Oiseaux migrateurs), mouvement de jeunesse qui associe retour à la nature et sagesse… Que la guerre, puisqu’elle s’est imposée, serve de révélateur à cet art de vivre, annonce d’une nouvelle communauté qui doit émerger dans l’avenir.