Dans une école très stricte de garçons, que peut-il bien se passer d'intéressant durant les rares loisirs et jours de repos ? Heureusement que la "République libre de l'Acropole", avec ses Conscrits et ses Affranchis est là pour mettre un peu d'ambiance ! Le but de cette assemblée secrète et unique en son genre est de découvrir des trésors, des secrets et les exposer au monde des adultes.
Durant une récréation comme les autres, les jeunes Lucien et Pierre vont tomber, par hasard, sur l'entrée d'un souterrain oublié, dans le parc abandonné près de l'école. Où débouche-t-il et surtout que renferme-t-il ? Commence alors pour la R.L.A. une course contre la montre pour découvrir ce Grand Secret que les grandes personnes ne connaissent pas.

Lundi 15 avril 2019, fin d’après-midi : le feu se déclare dans les charpentes de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Très vite, l’ampleur de l’incendie se révèle dramatique, la France entière retient son souffle, l’émotion est mondiale.

Toute la nuit, les pompiers combattront les flammes jusqu’à leur extinction. Un élan planétaire s’affirme aussitôt : Notre-Dame renaîtra !

Chronique dans le magazine Historia du 14 février 2022 :

https://www.historia.fr/bd/notre-dame-des-flammes-%C3%A0-la-renaissance

Le film est réalisé selon la biographie de Mgr Bernard Tissier de Mallerais que l'on peut se procurer aux Editions Clovis.

Le 30 juin 1988, Monseigneur Lefebvre procédait à « l’opération survie » de la Tradition en sacrant quatre évêques sans mandat apostolique à Écône en Suisse. Face à la grave crise de l’Église, il estimait être de son devoir de continuer à former des évêques et des prêtres pour maintenir la liturgie et la doctrine traditionnelles de l'Eglise mises à mal depuis le concile Vatican II. Vingt ans plus tard, en levant l’excommunication qui l’avait alors touchée, le pape Benoît XVI provoquait l’une des plus graves crises médiatiques qu’ait connu le monde catholique. Quel enjeu revêtait donc le combat de Mgr Lefebvre ?

Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).

Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »

En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»