La crise financière de 2008 et la crise économique qui accompagne la pandémie de la Covid-19 nous rappellent que la dette est présente dans nos vies sous de multiples formes. Cet essai se propose donc de poser un regard sur l’endettement de nos sociétés modernes à travers les relations entre la justice et les différentes formes de dette, tout en posant les fondements d’une théorie de la juste dette. Qu’elle soit divine, générationnelle, historique, écologique, d’honneur ou encore monétaire, la dette pose des questions éthiques (Est-il juste de s’endetter ?) et économiques (L’endettement est-il créateur de richesse ou de pauvreté ?). Mais elle pose aussi la question de son remboursement et de sa libération.

   « Qui tient la mer tient le monde. » Le vieil adage a conduit Xavier Bertrac à s’interroger sur mythologie et symbolique maritimes en partant des textes sacrés. Des eaux primordiales sur lesquelles plane l’Esprit aux divinités tutélaires chinoises, celtes, grecques et latines, c’est à l’analogie, à la mystique et à la poésie propre à l’immensité liquide qu’il consacre une réflexion originale.
   Du chant joyeux des sources aux abîmes des profondeurs océaniques, son propos ouvre à l’un des mystères les plus sacrés de la Création : l’eau, comme messagère de vie et de régénération baptismale.

   Xavier Bertrac est historien et travaille pour un institut de sondage. Il s’intéresse particulièrement à l’histoire des traditions religieuses et à la psychologie des profondeurs.

La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.

Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.

Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.

De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.

A travers ce livre, découvrez l'histoire de toutes nos provinces, dans l'ordre où elles ont été acquises par la couronne de France. L'évolution territoriale de la France est ainsi retracée de façon saisissante.

Chaque province de France a son histoire à raconter, son histoire à elle : ses origines et son évolution, et parfois ses propres souverains, son propre état. Des dynasties prestigieuses se sont éteintes, d'autres ont hérité d'un royaume ou d'un empire à l'étranger.

Beau papier vergé 160 grammes couleur ivoire.

L'automobile est dans le collimateur du pouvoir, qui a multiplié depuis des années les mesures coercitives contre elle et ses usagers. L'assassinat en cours d'être perpétré n'a rien d'un acte gratuit. Il faut remonter le fil d'Ariane en compagnie de l'auteur, spécialiste des politiques publiques en matière de transport, pour découvrir le mobile caché du crime. 

Ce sont les libertés, telles que les entendaient les anciens, qui doivent disparaître avec l'automobile, l'un des tout derniers instruments de liberté.

Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir lutter contre le mondialisme en laissant de côté le problème de l'“Holocauste”. Dans une brillante analyse, Vincent Reynouard constate que le délit de “provocation à la haine raciale” est né au premier procès de Nuremberg…