SS - Léon Degrelle
Presque un livre testament de Léon Degrelle, complètement inédit, édition numérotée limitée à 1000 exemplaires, 192 pages, couverture simili cuir.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
Presque un livre testament de Léon Degrelle, complètement inédit, édition numérotée limitée à 1000 exemplaires, 192 pages, couverture simili cuir.
Vincent Reynouard dissipe les légendes malveillantes qui entourent les JO de Berlin, à commencer par celles qui concernent la victoire de Jesse Owens…
L’analogie-déduction permet de susciter chez de nombreux électeurs un refus définitif de la droite nationale. Elle rend vains tous les efforts de «dédiabolisation» tentés par ses chefs.
Comment fonctionne-t-elle et, à partir de cette connaissance, comment la contrer ? Cette brochure fournit le réponses. Un outil essentiel que tout militant nationaliste doit posséder afin de pouvoir neutraliser l’analogie-déduction.
En national-socialiste spiritualiste, Vincent Reynouard apporte une réponse déroutante à la «question juive» pour mener un combat positif sans jamais désespérer…
« ... Le soir, avec trois autres lascars, on a été regroupés pour prendre la direction de la prison de Fleury-Mérogis. Il y avait là un Arabe avec une musculature vraiment impressionnante, peut-être vingt-cinq ans, et avec une tête à faire ; une vraie tronche de criminel ! Je ne me souviens plus de son prénom, mais c'est en face de ce gars que je me suis retrouvé dans le fougon cellulaire. J'étais assis dans ma petite cabine métallique de cinquante centimètres carrés, et lui dans la sienne. On a commencé parler à travers l'épais grillage, sans pouvoir distinguer nos visages.
Lui, il retournait en cabane... une fois ! Il en était sorti quelques mois auparavant . Tout ça parce qu'une fille l'avait accusé de l'avoir tapée dans la rue, alors que ce n'étit pas vrai...
Fin 1945, 10 000 hommes et 4 000 femmes, condamnés pour faits de collaboration par les tribunaux d’exception français, purgent leur peine dans les maisons centrales, appelées bagnes par les épurés, et les camps. Pierre-Denis Boudriot présente ces établissements, de 1944 à 1954, et détaille la vie quotidienne de leurs détenus. Il a exploité 70 récits, mémoires et correspondances privées d’épurés en les croisant avec les nombreuses notes et circulaires de l’administration pénitentiaire destinées à la seule hiérarchie. Il en résulte un tableau saisissant de réalisme sur cette période charnière de notre histoire.
Comment Saint Louis est-il devenu la figure la plus admirée de l’histoire de France ? Il a été, au XIIIe siècle, le maître incontesté de toute la chrétienté. Son amour de la paix et de la justice en feront un souverain, déjà de son vivant, au prestige moral incontesté. Celui qui reçut une éducation si exigeante de la part de sa mère Blanche de Castille a passé sa vie guidé par deux livres : les Évangiles et les Psaumes. Saint Louis défendit également une cause qui était celle de toute l’Europe chrétienne : la croisade. Par ses voyages outre-mer, il voulut reconquérir Jérusalem, défendre les chrétiens présents en Terre sainte contre les attaques musulmanes et convertir les infidèles à la foi catholique. Tous ses choix, privés comme publics, n’avaient que Dieu comme finalité.
L'auteur a été le premier à apporter une vue globale sur la question. Un classique, doublé d'un best-seller, traduit en de nombreuses langues.
152 p.