

La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
De la tour de Babel à la théorie du genre, le même projet totalitaire traverse les siècles : faire table rase de toutes les différences qui structurent le genre humain (sexe, appartenance à un province, une nation ou à une civilisation) pour ériger un homme nouveau. Avortement, PMA-GPA, loi Taubira, mondialisation sauvage et Grand remplacement : ces phénomènes mortifères ne sont que les multiples têtes d'un nouvel hydre de Lernes. Tranchez une tête et une deuxième repousse aussitôt.
C'est pourquoi Julien Langella lance un appel aux catholiques et à tous les hommes de bonne volonté : contre les apprentis sorciers qui veulent redessiner les contours de l'humanité, il faut engager une résistance totale. Soyons cohérents : il faut passer de la Manif pour tous à la reconquête intégrale.
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard présente les transformations opérées en France quand le national-socialisme y fut appliquée comme principe de gouvernement…
Dans cet ouvrage, V. Reynouard démonte le discours tenu par les démocrates et démontre que, loin d’être une entreprise de liberté, les Droits de l’Homme sont au contraire une idéologie répressive autant qu’hypocrite qui provoque la mort de notre civilisation.
Le remède serait un retour à la primauté du Bien commun, ce qu’Hitler avait parfaitement compris. Puis il résume et explique pourquoi, sur le terrain social, le IIIe Reich enregistra des succès inégalés à ce jour.
Introduction
I. Les droits de l’Homme: une idéologie comme une autre
Cette brochure aborde la question de l’économie dans le Troisième Reich grâce à trois textes de l’époque de la guerre:
– Une économie sans crise de Wilhelm Utermann;
– Le miracle de la stabilité des prix de Hansgeorg Kayser;
– Le financement de la guerre par l’Allemagne n’a rien qui tienne du prodige de Walter Schuster.
L’analogie-déduction permet de susciter chez de nombreux électeurs un refus définitif de la droite nationale. Elle rend vains tous les efforts de «dédiabolisation» tentés par ses chefs.
Comment fonctionne-t-elle et, à partir de cette connaissance, comment la contrer ? Cette brochure fournit le réponses. Un outil essentiel que tout militant nationaliste doit posséder afin de pouvoir neutraliser l’analogie-déduction.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.