

Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir lutter contre le mondialisme en laissant de côté le problème de l'“Holocauste”. Dans une brillante analyse, Vincent Reynouard constate que le délit de “provocation à la haine raciale” est né au premier procès de Nuremberg…
Au sein de la droite nationale, on se dispute sur le cas Zemmour : certains croient en lui, d’autres le qualifient de marionnette du Système…
Cet ouvrage s’adresse à tous les militants soucieux de sauver la France et, au-delà, la civilisation européenne, du mondialisme dissolvant. Bien que tourné vers le futur, leur combat nécessite de rétablir la vérité historique concernant les années 1930.
Dans cette conférence en image, je le démontre en m’appuyant sur de nombreux documents très divers (livres, articles, reportages…).
Pour moi, l’affaire est simple : si Éric Zemmour souhaite vraiment défendre la France charnelle, alors il devra prendre parti pour la vérité historique concernant les années 1930.
Les Conséquences politiques de la paix est un ouvrage écrit en 1920 par Jacques Bainville, dans lequel est dénoncé le traité de Versailles de 1919 en ces termes célèbres :
Bainville, dans cette analyse majeure, y décrit le processus de déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, à savoir l’annexion de l’Autriche par le Reich, la crise des Sudètes avec la Tchécoslovaquie et un pacte germano-russe contre la Pologne. Profondément anticommuniste et antiallemand (tout en vouant à ce peuple une certaine admiration), il eut une vision de l’avenir du XXe siècle qui a été dans une large mesure vérifiée avec la Seconde Guerre mondiale.
Fin 1945, 10 000 hommes et 4 000 femmes, condamnés pour faits de collaboration par les tribunaux d’exception français, purgent leur peine dans les maisons centrales, appelées bagnes par les épurés, et les camps. Pierre-Denis Boudriot présente ces établissements, de 1944 à 1954, et détaille la vie quotidienne de leurs détenus. Il a exploité 70 récits, mémoires et correspondances privées d’épurés en les croisant avec les nombreuses notes et circulaires de l’administration pénitentiaire destinées à la seule hiérarchie. Il en résulte un tableau saisissant de réalisme sur cette période charnière de notre histoire.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
Pour l’auteur de The Hoax of the Twentieth Century (La Mystification du XXe siècle) la prétendue extermination physique des juifs européens pendant la seconde guerre mondiale constitue ce qu’on peut indifféremment appeler un mensonge historique, un mythe, une imposture ou, comme c’est ici le cas, une mystification. En France et en bien d’autres pays cette mystification est devenue une vérité officielle qui, ayant aujourd’hui force de loi, est protégée par la police, par l’appareil judiciaire et, surtout, par l’omnipotence des grands médias. Elle a pris les caractères d’une croyance religieuse, d’un interdit social, d’un tabou.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
L’analogie-déduction permet de susciter chez de nombreux électeurs un refus définitif de la droite nationale. Elle rend vains tous les efforts de «dédiabolisation» tentés par ses chefs.
Comment fonctionne-t-elle et, à partir de cette connaissance, comment la contrer ? Cette brochure fournit le réponses. Un outil essentiel que tout militant nationaliste doit posséder afin de pouvoir neutraliser l’analogie-déduction.