

Paru en 1928, à la veille des accords du Latran, qui devaient aboutir à une " conciliation " entre l'Etat fasciste et l'Eglise catholique, Impérialisme païen est assurément, de toutes les œuvres de jeunesse de Julius Evola, la plus originale. Faisant suite à une série d'articles " scandaleux ", ce livre se proposait de lancer un " programme révolutionnaire qui investirait le plan de la vision fasciste de la vie, jusqu'à aborder le problème de la compatibilité entre fascisme et christianisme ".
En rupture momentanée. Réimpression prévue pour août 2025.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
La plupart des commentateurs de l’époque s’accordent à voir dans le capitalisme libéral mondialisé un système en faillite. Chute de la croissance, chômage de masse, dettes publiques au plus haut, effondrement des acquis sociaux… Les discours déclinistes d’hier sont devenus le triste constat de la réalité des temps présents.
Pourtant, si tous les spécialistes déplorent à l’unisson l’actuel échec du libéralisme économique, beaucoup de nos contemporains demeurent encore peu éclairés sur le rôle du libéralisme culturel dans l’essor et le développement des sociétés capitalistes.
Le Discours de la servitude volontaire, – texte majeur de la philosophie politique, repris à travers les âges –, constitue une remise en cause de la légitimité des gouvernants ainsi qu’une analyse sur les raisons de la “soumission” du peuple.
Bien qu’Étienne de La Boétie soit toujours resté, de par ses fonctions, serviteur de l’ordre public, il est cependant considéré comme le précurseur intellectuel de la “désobéissance civile”.
Me voici arrivé presque au bout de ma course humaine. J’ai à peu près tout senti. Tout connu. Et surtout tout souffert.
J’ai vu, ébloui, s’élever les grands feux d’or de ma jeunesse. Leur incendie illuminait mon pays. Les foules faisaient danser autour de moi les vagues étoilées de leurs milliers de visages. Leur ferveur, leurs remous ont existé.
Mais en fait vraiment ont-ils existé ? Tout cela ne fut-il pas un songe ? N’ai-je pas rêvé qu’à moins de trente ans un pays se disait mon nom et qu’à certains jours les plus lointains journaux de la planète le répétèrent ?
Replié dans mes tristesses d’exilé, j’arrive à ne plus croire à mon passé lui-même. Ai-je ou non vécu ces temps ? Connu ces passions ? Soulevé ces océans ? J’arpente mes terrasses. Je me penche sur mes roses.
Composé de deux articles d'Evola parus en 1938 et 1941 ainsi que d'un texte de René Guénon paru en 1936, ce recueil constitue une parfaite introduction à l'oeuvre de celui qui est considéré comme le plus grand penseur de droite d'après-guerre. Les deux auteurs s'y accordent sur le constat que le plus ne saurait venir du moins, pas plus que le supérieur ne le pourrait de l'inférieur.
Dans ce texte, paru en Italie en 1936, complément de Révolte contre le monde moderne, l'auteur analyse précisément la problématique hébraïque dans une perspective traditionnelle, y développant son argumentation sur trois aspects majeurs : spirituel et religieux, éthique et culturel, socio-économique et politique.
Des mythologies aux légendes populaires, des anciens rites religieux aux coutumes rurales encore vivaces aujourd’hui, de la célébration des fêtes traditionnelles à l’origine des prénoms, c’est une véritable encyclopédie de l’Europe païenne qui vous est offerte dans ce livre illustré, prodigieusement documenté et bourré de renseignements pratiques pour ceux qui ne veulent pas perdre la mémoire !