

Au sommaire : La chasse aux hérétiques. – Affaire Gollnisch. – La victoire de Vincent Reynouard. – La thèse nullissime de Florent Brayard. – L’Onu met les révisionnistes au ban de l’humanité. – Michel Charasse à Vichy. – Révisionnisme en Iran, en France et dans le monde. – Considérable révision, officielle, du nombre des morts de Majdanek. – Le révisionnisme du président iranien. – André Schwarz-Bart, escroc littéraire. – Les victoires du révisionnisme. Entretien avec le professeur Robert Faurisson. – Robert Badinter en a menti. – Les témoins de R. Badinter. – Guillaume Faye dénonce le révisionnisme. – Le Père Patrick Desbois est un sacré farceur. – Et bien d’autres textes. Bibliographie. Index.
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ou les vainqueurs incorrigibles
« Les hostilités terminées, s’il n’y eut sur le moment que peu de gens à penser qu’il était nécessaire de passer au crible les horreurs et les responsabilités de la Seconde Guerre mondiale, il est remarquable que ces gens aient été surtout de droite et qu’ils aient, en outre, fondé leur attitude sur les principes au nom desquels les intellectuels de gauche avaient refusé Versailles vingt-cinq ans plus tôt. Quant aux intellectuels de gauche, dans leur écrasante majorité, ils ont approuvé et exalté Nuremberg au nom de principes dont, au temps de Versailles, ils reprochaient le caractère réactionnaire à ceux de la droite qui les faisaient leurs, et le phénomène n’est pas moins remarquable.
Au sommaire : Une monographie révisionniste sur Majdanek. – À Lyon, l’affaire Plantin. – En Allemagne, tourmente judiciaire pour quinze lignes de latin. – Vers un « ministère de la Défense contre le révisionnisme ». – Un professeur en garde à vue pour délit d’opinion. – Le révisionnisme actif de Jean-Gabriel Cohn-Bendit. – Jean-Claude Pressac, version 2000. – Procès Amaudruz à Lausanne. – Mythes autour des JO de Berlin (1936). – Le gros mensonge du grand […]. – Novembre noir pour les révisionnistes. – Beyrouth : l’impossible conférence révisionniste. – La chasse aux révisionnistes. – La piscine d’Auschwitz I. – L’incendie criminel de la bibliothèque interuniversitaire de Lyon. – L’imposture Wilkomirski restera impunie. – Lettre à des magistrats lyonnais.
Au sommaire : Entretien avec Giovanna Canzano. – Enfants juifs : leur déportation ne signifiait pas leur extermination. – Invité, mais censuré, par Radio Courtoisie. – Répression contre le révisionnisme français. – Au Zénith, Dieudonné présente Faurisson. – Un échange avec Noam Chomsky. – La mascarade du père Patrick Desbois. – Pierre Nora jette le masque. – Jacques Attali, faussaire de l’histoire. – Mark Weber doit démissionner de l’Institute for Historical Review. – L’Aktion Reinhardt. – Traduction intégrale d’un entretien de Céline avec un journaliste américain. – Horst Mahler et Sylvia Stolz. – Konk. – Le phénomène « Kevin Käther ». – La découverte, le 19 mars 1976, des plans des crématoires d’Auschwitz et de Birkenau. – Iran : deux discours capitaux d’Ahmadinejad.
Pour l’auteur de The Hoax of the Twentieth Century (La Mystification du XXe siècle) la prétendue extermination physique des juifs européens pendant la seconde guerre mondiale constitue ce qu’on peut indifféremment appeler un mensonge historique, un mythe, une imposture ou, comme c’est ici le cas, une mystification. En France et en bien d’autres pays cette mystification est devenue une vérité officielle qui, ayant aujourd’hui force de loi, est protégée par la police, par l’appareil judiciaire et, surtout, par l’omnipotence des grands médias. Elle a pris les caractères d’une croyance religieuse, d’un interdit social, d’un tabou.
Au sommaire : Le révisionnisme historique devant les tribunaux français. – Le ghetto de Varsovie : insurrection ou opération de police ? – Primo Levi sur Auschwitz. – Les témoins des chambres à gaz d’Auschwitz. – Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler. – Milices juives : quinze ans et plus de terrorisme en France. – Combien de morts à Auschwitz ? – Bilan de l’affaire Garaudy/abbé Pierre. – Questions à l’Unesco au sujet d’Auschwitz. Etc.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affirmer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des « négateurs » ou des « négationnistes » ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
Le révisionnisme peut s’exercer en cent activités de la vie courante et en cent domaines de la recherche historique, scientifique ou littéraire.