Au sommaire : Apologies de meurtre chez Pascal Ory et Pierre Assouline. – Bradley Smith (1930-2016). – Serge Klarsfeld contre les outrances de son propre camp. – Martin Gray, marchand de faux en tous genres, est mort. – Lire et faire lire Morvan Duhamel ! – Élie Wiesel est mort. – F. Töben et R. Faurisson à propos de Fritz Berg. – Mémoire en défense contre ceux qui persistent à m’accuser de falsifier l’histoire… – Dieudonné renoue avec les chambres à gaz. – Honte à Raphaël Enthoven ! Honneur à Vincent Reynouard ! – Bruno Gollnisch pour l’abrogation de la loi Gayssot. – Marine Le Pen entre en campagne contre le révisionnisme. – Une vocation révisionniste. – Naïf bidouillage holocaustique. – Mon procès contre Ariane Chemin.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affirmer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des « négateurs » ou des « négationnistes » ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
Le révisionnisme peut s’exercer en cent activités de la vie courante et en cent domaines de la recherche historique, scientifique ou littéraire.
Au sommaire : Entretien avec Giovanna Canzano. – Enfants juifs : leur déportation ne signifiait pas leur extermination. – Invité, mais censuré, par Radio Courtoisie. – Répression contre le révisionnisme français. – Au Zénith, Dieudonné présente Faurisson. – Un échange avec Noam Chomsky. – La mascarade du père Patrick Desbois. – Pierre Nora jette le masque. – Jacques Attali, faussaire de l’histoire. – Mark Weber doit démissionner de l’Institute for Historical Review. – L’Aktion Reinhardt. – Traduction intégrale d’un entretien de Céline avec un journaliste américain. – Horst Mahler et Sylvia Stolz. – Konk. – Le phénomène « Kevin Käther ». – La découverte, le 19 mars 1976, des plans des crématoires d’Auschwitz et de Birkenau. – Iran : deux discours capitaux d’Ahmadinejad.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
Au sommaire : Une monographie révisionniste sur Majdanek. – À Lyon, l’affaire Plantin. – En Allemagne, tourmente judiciaire pour quinze lignes de latin. – Vers un « ministère de la Défense contre le révisionnisme ». – Un professeur en garde à vue pour délit d’opinion. – Le révisionnisme actif de Jean-Gabriel Cohn-Bendit. – Jean-Claude Pressac, version 2000. – Procès Amaudruz à Lausanne. – Mythes autour des JO de Berlin (1936). – Le gros mensonge du grand […]. – Novembre noir pour les révisionnistes. – Beyrouth : l’impossible conférence révisionniste. – La chasse aux révisionnistes. – La piscine d’Auschwitz I. – L’incendie criminel de la bibliothèque interuniversitaire de Lyon. – L’imposture Wilkomirski restera impunie. – Lettre à des magistrats lyonnais.
Au sommaire : Le révisionnisme historique devant les tribunaux français. – Le ghetto de Varsovie : insurrection ou opération de police ? – Primo Levi sur Auschwitz. – Les témoins des chambres à gaz d’Auschwitz. – Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler. – Milices juives : quinze ans et plus de terrorisme en France. – Combien de morts à Auschwitz ? – Bilan de l’affaire Garaudy/abbé Pierre. – Questions à l’Unesco au sujet d’Auschwitz. Etc.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
Extraits de la table des matières: Les dix commandements de la religion de […]. – La phrase de soixante mots ! – Les victoires du révisionnisme (suite). – L’Unesco et l’Holocauste. – Contre l’hollywoodisme, le révisionnisme. – Sornettes et tricheries de Valérie Igounet sur le compte de Robert Faurisson. – Pour Vincent Reynouard. – Heinrich Himmler et les juifs. – Pour en finir avec la chambre à gaz du Struthof. – Déclarations révisionnistes de M. Ahmadinejad. – Jacques Vergès. – Stupéfiant Dieudonné ! – L’affaire Gregory Chelli. – Ursula Haverbeck. – Le procès contre Ariane Chemin et Le Monde. – Le caractère explosif du Zyklon B. – Etc.
552 p.