Mais qui ? - Vincent Reynouard
En national-socialiste spiritualiste, Vincent Reynouard apporte une réponse déroutante à la «question juive» pour mener un combat positif sans jamais désespérer…
Prix indicatif.
En national-socialiste spiritualiste, Vincent Reynouard apporte une réponse déroutante à la «question juive» pour mener un combat positif sans jamais désespérer…
Souvenirs du dernier Chef de la jeunesse du Reich.
Cinquante ans après, peu avant sa mort, l’un des plus importants témoins du Troisième Reich a rompu le silence. Artur Axmann, le dernier chef de la jeunesse du Reich de Hitler pendant la guerre, décrit pour la première fois ses expériences de jeunesse sous la République de Weimar, le travail de construction de la Jeunesse hitlérienne sous le Troisième Reich, en mettant l’accent sur les réalisations sociales, et l’engagement dévoué de la jeunesse pendant la guerre, sur le front et dans la patrie.
Une documentation d’une importance capitale, qui explique les idéaux d’une jeunesse et s’oppose à sa diabolisation.
Artur Axmann est né le 18 février 1913 à Hagen.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
Pour son plus grand malheur, l’œuvre de Richard Nikolaus von Coudenhove-Kalergi est tombée un jour entre les mains d’un front bas conspirationniste.
Celui-ci ne l’a naturellement pas comprise et, de là, est né le mythe du « Plan Kalergi » qu’une ribambelle d’imbéciles nous rabâchent ad nauseam en le liant parfois à d’autres complots tout aussi stupides mettant en cause les gnostiques, les juifs, les francs-maçons, etc.
Or, il n’existe pas de « Plan Kalergi » et le comte von Coudenhove-Kalergi ne fut qu’un révolutionnaire conservateur mineur.
Ce dossier, constitué autour de deux contributions de Julius Evola remettra les pendules à l’heure et rendra son honneur à un homme à la pensée aussi profondément aristocratique que méconnue.
Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir lutter contre le mondialisme en laissant de côté le problème de l'“Holocauste”. Dans une brillante analyse, Vincent Reynouard constate que le délit de “provocation à la haine raciale” est né au premier procès de Nuremberg…
Vincent Reynouard dissipe les légendes malveillantes qui entourent les JO de Berlin, à commencer par celles qui concernent la victoire de Jesse Owens…
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard explique ce que lui ont appris plus de trente années de militantisme en première ligne.
Pourquoi, depuis plus de deux siècles, le camp national a-t-il perdu toutes les batailles importantes? À cette question, Vincent Reynouard a voulu apporter une réponse lucide…
Loin d’être un système « neutre », la démocratie est au contraire intrinsèquement perverse : elle ne peut servir le Bien commun que dans la mesure où ceux qui en usent ne le font que pour la subvertir, et l’annoncent ouvertement. On ne peut être de droite, de vraie droite, de droite radicale, et consentir à jouer la carte démocratique, que si l’on commence par dénoncer les vices qui sont consubstantiels à toute démocratie. On ne peut efficacement enrayer, par le mode d’action démocratique, les effets pervers de la démocratie, ou faire jouer la démocratie contre elle-même, que si l’on commence par se proposer, explicitement, de la détruire.