
AFS Repères - Le 11...
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
Préface d'Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherches à l'INSERM
Lorsque la vaccination fut inventée, au XVIIIe siècle, le système immunitaire nous restait entièrement inconnu. Il était impossible de se représenter – et moins encore de comprendre ! – ce que provoque dans l'organisme l'injection d'une substance biologique étrangère. De même lorsque, croyant bien faire, les gouvernements imposèrent une vaccination indifférenciée et systématique à tous les citoyens, on ignorait tout du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH), découvert par Jean Dausset en 1958, selon lequel chaque être humain a un comportement immunitaire qui lui est propre et rejette le « non-soi ».
Tout acte médical devrait relever d'un dialogue personnel entre le médecin et chaque patient.
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
Dans l’histoire de l’humanité, nul bien de consommation n’a colonisé la vie
des hommes aussi prestement que la télévision. En un quart de siècle, la
proportion d’individus lisant 20 livres par an a fléchi de près de 50 % tandis que
le nombre de spectateurs consacrant 3 heures par jour à la télévision s’est accru
de plus d’un tiers.
Fait plus préoccupant encore, la consommation audiovisuelle précoce engendre
une altération de la formation du cerveau infantile avec des conséquences
sur sa santé, sa scolarité et ses relations sociales… Si la télévision est dangereuse
pour les enfants, elle l’est aussi pour les adultes. Et le phénomène s’amplifie avec
l’utilisation toujours plus importante d’Internet, de la tablette, du smartphone,
de l’Iphone, etc.
Notre livre est né d’un constat : au siècle dernier, on a expulsé Dieu de la sphère publique pour l’enfermer dans la sphère privée, et l’on sort la femme du foyer... pour la jeter dans la sphère publique. Étrange coïncidence !
Un foyer déserté par celle qui en est l’âme blesse la société tout entière. Certains voulant asservir notre société, il fallait commencer par en saper les fondations. Il fallait anéantir la fonction de transmission de la femme, sa fertilité, le don, la gratuité et l’amour. L’objectif est-il atteint ? Ce manuel analyse ce processus et propose une alternative pour une vraie refondation des rapports entre hommes et femmes aujourd’hui.
Écrivain et journaliste, Anne Brassié anime une émission littéraire, chaque jeudi, depuis vingt-sept ans, sur Radio Courtoisie.
Il ne s’agit pas d’être pessimiste sur le futur qui nous attend mais simplement réaliste. Le modèle économico-financier mondial est un grand casino où les gains sont privatisés par les banques privées et les pertes « nationalisées » par les États (les Peuples). Lorsque toutes les grandes puissances économiques du monde s’endettent sans aucune intention de rembourser un jour, il est évident que le manque de gestion des banques privées et l’impression monétaire par les banques « publiques » engendreront obligatoirement soit une ruine directe des épargnants, soit une perte de valeur des monnaies nationales.
La première version du fascisme que nous présente l’histoire contemporaine est le fascisme italien. À l’origine, c’est un mouvement de militants socialistes et d’anciens combattants qui sauva l’Italie du bolchevisme. Mussolini est le fils d’une institutrice et d’un forgeron militant de l’Internationale. On le met en prison à vingt ans pour avoir fomenté une grève générale. II est d’abord insoumis, s’exile en Suisse, traduit Kropotkine, la première revue qu’il fonde s’appelle La Lutte de classe, le premier journal qu’il dirige est un journal socialiste. Les débuts du fascisme ne démentent pas cette origine.
Le VIH n'est pas la cause du Sida... Le Sida n'est pas sexuellement transmissible... Les médicaments antirétroviraux provoquent des maladies symptomatiques du sida... Tels sont les arguments du Dr. Peter Duesberg, un des plus prestigieux microbiologistes du monde, membre de la National Academy of Science des États-Unis, pionnier de la virologie et de la rétrovirologie.
Si le VIH est la cause du SIDA, pourquoi des milliers de victimes du SIDA n'ont-elles jamais été infectées par le VIH ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le VIH, sont-elles demeurées en parfaite santé ?
À une époque où la pollution est à l’ordre du jour et où la science et le progrès paraissent sur le point de rompre l’équilibre écologique naturel qui assure la subsistance et la survie des hommes sur la planète, il nous a paru intéressant, en ce qui concerne les plantes, de faire table rase de l’acquis contemporain pour retourner aux sources.
De vous parler des plantes comme le faisaient les anciens, et de remonter dans ce domaine aux plus lointaines traditions.
Beaucoup de recettes qui seront rappelées dans ce dictionnaire font partie de ce qu’on appelle vulgairement « les remèdes de bonne femme »…