

Préface d'Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherches à l'INSERM
Lorsque la vaccination fut inventée, au XVIIIe siècle, le système immunitaire nous restait entièrement inconnu. Il était impossible de se représenter – et moins encore de comprendre ! – ce que provoque dans l'organisme l'injection d'une substance biologique étrangère. De même lorsque, croyant bien faire, les gouvernements imposèrent une vaccination indifférenciée et systématique à tous les citoyens, on ignorait tout du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH), découvert par Jean Dausset en 1958, selon lequel chaque être humain a un comportement immunitaire qui lui est propre et rejette le « non-soi ».
Tout acte médical devrait relever d'un dialogue personnel entre le médecin et chaque patient.
Il ne s’agit pas d’être pessimiste sur le futur qui nous attend mais simplement réaliste. Le modèle économico-financier mondial est un grand casino où les gains sont privatisés par les banques privées et les pertes « nationalisées » par les États (les Peuples). Lorsque toutes les grandes puissances économiques du monde s’endettent sans aucune intention de rembourser un jour, il est évident que le manque de gestion des banques privées et l’impression monétaire par les banques « publiques » engendreront obligatoirement soit une ruine directe des épargnants, soit une perte de valeur des monnaies nationales.
Le VIH n'est pas la cause du Sida... Le Sida n'est pas sexuellement transmissible... Les médicaments antirétroviraux provoquent des maladies symptomatiques du sida... Tels sont les arguments du Dr. Peter Duesberg, un des plus prestigieux microbiologistes du monde, membre de la National Academy of Science des États-Unis, pionnier de la virologie et de la rétrovirologie.
Si le VIH est la cause du SIDA, pourquoi des milliers de victimes du SIDA n'ont-elles jamais été infectées par le VIH ? Le courant scientifique dominant a éludé cela. Pourquoi des centaines de milliers de personnes ayant été, depuis de nombreuses années, infectées par le VIH, sont-elles demeurées en parfaite santé ?
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
La première version du fascisme que nous présente l’histoire contemporaine est le fascisme italien. À l’origine, c’est un mouvement de militants socialistes et d’anciens combattants qui sauva l’Italie du bolchevisme. Mussolini est le fils d’une institutrice et d’un forgeron militant de l’Internationale. On le met en prison à vingt ans pour avoir fomenté une grève générale. II est d’abord insoumis, s’exile en Suisse, traduit Kropotkine, la première revue qu’il fonde s’appelle La Lutte de classe, le premier journal qu’il dirige est un journal socialiste. Les débuts du fascisme ne démentent pas cette origine.
Il sera question dans cet ouvrage des expériences et drogues testées par la CIA sous les projets Bluebird, Artichoke, Mk Ultra et Mk Delta, des projets de vaccinations sur les populations (suivies d’épidémies en tous genres), du contrôle de la pensée et du comportement, des technologies de cristaux liquides, des expériences médicales et militaires, du « programme de contrôle de la volonté » par le biais d’ondes visuelles et électromagnétiques de manière à provoquer chez l’individu une confusion de l’esprit et un état léthargique permanent. Les sources et les évidences confirment la chute de l’Économie et le regroupement mondial d’organismes internationaux. Cette guerre se fait actuellement sous trois formes distinctes : économique, électronique et médicale.
L'histoire de France est résumée en 32 grands tableaux qui mettent en scène nos grands personnages, comme Vercingétorix, Clovis, Jeanne d'Arc, Louis XIV, le général de Gaulle, ou une grande image de la vie quotidienne. De la Préhistoire à la Libération de Paris en 1945, une autre facette du talent de Pierre Probst.
Grand album relié.