

L’officier du front de la Seconde Guerre mondiale, le major-général Otto Ernst Remer, qui, en tant que commandant du régiment de garde à Berlin, a empêché la tentative de renversement de la résistance le 20 juillet 1944. Il a non seulement relaté cet événement historique important dans son œuvre, mais il s’est également penché, en tant que témoin du déroulement dramatique de la guerre, sur les multiples délits et crimes, les actes de trahison et de sabotage commis par les membres de ce cercle qui n’est pas seulement coresponsable du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, mais également de la défaite de l’Allemagne.
Fin 1945, 10 000 hommes et 4 000 femmes, condamnés pour faits de collaboration par les tribunaux d’exception français, purgent leur peine dans les maisons centrales, appelées bagnes par les épurés, et les camps. Pierre-Denis Boudriot présente ces établissements, de 1944 à 1954, et détaille la vie quotidienne de leurs détenus. Il a exploité 70 récits, mémoires et correspondances privées d’épurés en les croisant avec les nombreuses notes et circulaires de l’administration pénitentiaire destinées à la seule hiérarchie. Il en résulte un tableau saisissant de réalisme sur cette période charnière de notre histoire.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir lutter contre le mondialisme en laissant de côté le problème de l'“Holocauste”. Dans une brillante analyse, Vincent Reynouard constate que le délit de “provocation à la haine raciale” est né au premier procès de Nuremberg…
Presque un livre testament de Léon Degrelle, complètement inédit, édition numérotée limitée à 1000 exemplaires, 192 pages, couverture simili cuir.
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»