

La consommation du numérique sous toutes ses formes – smartphones, tablettes, télévision, etc. – par les nouvelles générations est astronomique. Dès 2 ans, les enfants des pays occidentaux cumulent chaque jour presque 3 heures d’écran. Entre 8 et 12 ans, ils passent à près de 4 h 45. Entre 13 et 18 ans, ils frôlent les 6 h 45. En cumuls annuels, ces usages représentent autour de 1 000 heures pour un élève de maternelle (soit davantage que le volume horaire d’une année scolaire), 1 700 heures pour un écolier de cours moyen (2 années scolaires) et 2 400 heures pour un lycéen du secondaire (2,5 années scolaires).
Contrairement à certaines idées reçues, cette profusion d’écrans est loin d’améliorer les aptitudes de nos enfants.
J'ai le plaisir de vous présenter ce "carnet du militant face à la répression policière et judiciaire" rédigé par nos amis de l'ANAG sous les conseils de Maître Pierre-Marie Bonneau, avocat militant.
Ce carnet, d'une soixantaine de pages et d'un format facilement transportable, donne des conseils simples et pratiques afin d'éviter les ennuis inutiles et les complications judiciaires. Il donne des conseils avisés à suivre avant et pendant une manifestation, mais aussi en cas de contrôle, d'audition libre, de garde à vue ou de procès.
Un outil indispensable en ces temps de durcissement de l'appareil répressif.
Dans ce texte, paru en Italie en 1936, complément de Révolte contre le monde moderne, l'auteur analyse précisément la problématique hébraïque dans une perspective traditionnelle, y développant son argumentation sur trois aspects majeurs : spirituel et religieux, éthique et culturel, socio-économique et politique.
Pourquoi tous ces enfants étiquetés « THADA »? Il y en a maintenant 9 millions aux USA, et
12 millions dans le reste du monde. C’est un chiffre énorme.
Cela représente beaucoup de souffrance, et aussi évidemment un très gros enjeu financier.
Ces enfants ne sont ni méchants, ni désagréables, ni « mal élévés ».
La puissance d'aimantation d'internet ne doit rien au hasard. Celle-ci est due en partie à l'exploitation rationnelle des découvertes opérées sur le conditionnement animal depuis le deuxième tiers du XIXe siècle. Ces études ont permis à l'ingénierie sociale de divertir radicalement notre attention de ce pour quoi elle était initialement programmée afin de l'orienter vers la consommation de produits ou d'idées fabriqués.
Que nous le désirions ou non, l'internet global prospère sur la reductio ad bestiam de l'espèce humaine. Aussi serons-nous traités avec autant d'égards que le chien de Pavlov, le rat de John Watson ou le pigeon de Frédéric Skinner.