
AFS Repères - Le 11...
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
La période insurrectionnelle à Paris dura deux mois environ, du 18 mars 1871 jusqu’à la « semaine sanglante » (21 – 28 mai). Cette insurrection contre le gouvernement issu de l’Assemblée nationale, qui venait d’être élue au suffrage universel masculin, établit une organisation proche de l’autogestion pour gérer la ville.
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
De Jean Thiriart (1922-1992), penseur de l’unification européenne injustement méconnu, les plus avertis connaissent le militant, le chef de l’organisation transnationale Jeune Europe, ses écrits des années soixante, Un Empire de 400 millions d’hommes : l’Europe (1964) ou La Nation européenne, revue mensuelle qui paraît entre 1966 et 1969.
Retiré de la vie militante en 1969 pour se consacrer à la Société d’optométrie d’Europe, qu’il fonde en 1967 et qu’il présidera jusqu’en 1981, il réapparaît au début des années quatre-vingt en tant que théoricien développant une vision géopolitique des grands espaces en opposition avec les nationalismes étroits.
La F:. M:. agit contre la Vérité, pour qu'elle puisse se proclamer la vérité. La F:. M:. agit contre les consciences, pour qu'elle puisse se dire la conscience. La F:. M:. agit contre le bien commun parce qu'elle dit qu'elle est le bien unique. La F :. M:. prétend guider l'homme en dehors du chemin de sa destinée. La F:. M:. agit contre Dieu parce qu'elle s'invente la puissance suprême.
Nous avons essayé de la débusquer plus spécialement dans les faits historiques au cours des épisodes politiques et des faits divers depuis le dépôt de ses Constitutions officielles il y a trois siècles. Mais il ne faut pas oublier que la maçonnerie a aussi différentes facettes ; elle s'exclue, se divise, s'anathèmise. Cependant, toujours face au Dieu Trinitaire elle se réconcilie.
Avec ce nouveau livre, on retrouve la méticulosité chirurgicale de Philippe Ploncard d’Assac se servant d’une très importante documentation, favorable ou hostile à Charles De Gaulle, pour en relever les faits dûment référencés.
Touche par touche, tel un rouleau compresseur passant et repassant, revenant souvent sur des textes ou sur des faits pour bien en imprégner le lecteur, l’auteur révèle De Gaulle tel qu’il fut :
Un militaire médiocre, lâche, fuyant systématiquement les situations dangereuses, un aventurier politique allié aux lobbies hostiles à l’entreprise de restauration nationale que Philippe Pétain élaborait dans les plus mauvaises conditions de l’Occupation, des intrigues anglo-saxonnes et du terrorisme gaullo-communiste.
Rappelant que la problématique de l’identité est essentiellement une problématique moderne, Alain de Benoist en retrace la généalogie. Il rappelle que la dynamique libérale, en arrachant l’homme à ses liens communautaires et traditionnels, a mis en oeuvre un processus d’indistinction qui, par contrecoup, explique la montée des identités politiques et des identités de classes.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
Comment cela est-il arrivé ? Comment les peuples de la terre, épris de liberté, sont-ils devenus les esclaves des juifs ? En bref, les non-juifs ne se serrent pas les coudes ; beaucoup parmi eux, sincères et malavisés, croient au blasphème selon lequel le Christ était un juif, et que les juifs sont nos dirigeants naturels parce que notre Dieu est un juif ; et puis, les juifs dépensent des fortunes chaque année pour dissimuler leurs crimes, alors que les Goyim ne dépensent rien pour découvrir ce que font les juifs. Notre histoire a été falsifiée dans le seul but de dissimuler la culpabilité des juifs dans le déclenchement de la quasi-totalité des révolutions et de nombreux autres désastres mondiaux.
Né vers 1320 au château de la Motte-Broons près de Dinan, Bertrand Duguesclin, plusieurs siècles plus tard, fascine encore. Très tôt, son habileté et sa force le distinguent des autres. Une vocation de guerrier était en train de naître. Noble breton, connétable de France et de Castille, roi de Grenade, duc de Molina et comte de Tancarville, sa bravoure et son panache lui ont permis de s’élever d’un rang modeste à une haute fortune militaire. Il parut aux yeux de ses contemporains un personnage surnaturel, car dans le Moyen-Age ces exemples étaient fort rares, aussi a-t-on plus écrit sur son compte que sur celui de tout autre général. Au même titre que les rois, les reines et les princes, son gisant repose à la basilique Saint-Denis à Paris.