AFS Repères - Le 11...
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
Avec ce nouveau livre, on retrouve la méticulosité chirurgicale de Philippe Ploncard d’Assac se servant d’une très importante documentation, favorable ou hostile à Charles De Gaulle, pour en relever les faits dûment référencés.
Touche par touche, tel un rouleau compresseur passant et repassant, revenant souvent sur des textes ou sur des faits pour bien en imprégner le lecteur, l’auteur révèle De Gaulle tel qu’il fut :
Un militaire médiocre, lâche, fuyant systématiquement les situations dangereuses, un aventurier politique allié aux lobbies hostiles à l’entreprise de restauration nationale que Philippe Pétain élaborait dans les plus mauvaises conditions de l’Occupation, des intrigues anglo-saxonnes et du terrorisme gaullo-communiste.
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
En 1988, après dix ans de recherche, Carlos Porter publie Made In Russia: The Holocaust, une compilation de quelque 400 pages photocopiées de la transcription du procès de Nuremberg et archives connexes, « prouvant » un ensemble de mensonges auxquels personne ne croit plus (ex. : les chambres à vapeur, les chambres sous vide, les chambres avec trappe piégée…), en somme, les délirantes accusations portées contre les Allemands aux procès de Nuremberg…
À son grand étonnement, le livre ne provoqua presque aucune réaction, que ce soit à l’époque ou par la suite. La seule réaction est venue d’une personne intelligente qui lui a dit : « Votre livre est absolument incroyable. Les Allemands avaient-ils vraiment des machines à pédale pour écraser le cerveau pour fabriquer du savon humain ? »
La période insurrectionnelle à Paris dura deux mois environ, du 18 mars 1871 jusqu’à la « semaine sanglante » (21 – 28 mai). Cette insurrection contre le gouvernement issu de l’Assemblée nationale, qui venait d’être élue au suffrage universel masculin, établit une organisation proche de l’autogestion pour gérer la ville.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»