

Notre livre est né d’un constat : au siècle dernier, on a expulsé Dieu de la sphère publique pour l’enfermer dans la sphère privée, et l’on sort la femme du foyer... pour la jeter dans la sphère publique. Étrange coïncidence !
Un foyer déserté par celle qui en est l’âme blesse la société tout entière. Certains voulant asservir notre société, il fallait commencer par en saper les fondations. Il fallait anéantir la fonction de transmission de la femme, sa fertilité, le don, la gratuité et l’amour. L’objectif est-il atteint ? Ce manuel analyse ce processus et propose une alternative pour une vraie refondation des rapports entre hommes et femmes aujourd’hui.
Écrivain et journaliste, Anne Brassié anime une émission littéraire, chaque jeudi, depuis vingt-sept ans, sur Radio Courtoisie.
Dans l’histoire de l’humanité, nul bien de consommation n’a colonisé la vie
des hommes aussi prestement que la télévision. En un quart de siècle, la
proportion d’individus lisant 20 livres par an a fléchi de près de 50 % tandis que
le nombre de spectateurs consacrant 3 heures par jour à la télévision s’est accru
de plus d’un tiers.
Fait plus préoccupant encore, la consommation audiovisuelle précoce engendre
une altération de la formation du cerveau infantile avec des conséquences
sur sa santé, sa scolarité et ses relations sociales… Si la télévision est dangereuse
pour les enfants, elle l’est aussi pour les adultes. Et le phénomène s’amplifie avec
l’utilisation toujours plus importante d’Internet, de la tablette, du smartphone,
de l’Iphone, etc.
Préface d'Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherches à l'INSERM
Lorsque la vaccination fut inventée, au XVIIIe siècle, le système immunitaire nous restait entièrement inconnu. Il était impossible de se représenter – et moins encore de comprendre ! – ce que provoque dans l'organisme l'injection d'une substance biologique étrangère. De même lorsque, croyant bien faire, les gouvernements imposèrent une vaccination indifférenciée et systématique à tous les citoyens, on ignorait tout du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH), découvert par Jean Dausset en 1958, selon lequel chaque être humain a un comportement immunitaire qui lui est propre et rejette le « non-soi ».
Tout acte médical devrait relever d'un dialogue personnel entre le médecin et chaque patient.
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
Dans l’entreprise folle visant à obtenir un monde toujours plus globalisé, financiarisé à outrance, standardisé à l’extrême, c’est bien une hyper-classe mondiale qui a déclaré la guerre aux peuples, à tous les peuples.
Condamnant ainsi chaque individu à un véritable sida mental, chaque nation à un cancer moral, la Pollution, entre autres armes du mondialisme, demeure le plus pernicieux des moyens car presque invisible pour qui ne prend pas le temps de se documenter sur cette menace pourtant bien réelle !
Il ne s’agit pas d’être pessimiste sur le futur qui nous attend mais simplement réaliste. Le modèle économico-financier mondial est un grand casino où les gains sont privatisés par les banques privées et les pertes « nationalisées » par les États (les Peuples). Lorsque toutes les grandes puissances économiques du monde s’endettent sans aucune intention de rembourser un jour, il est évident que le manque de gestion des banques privées et l’impression monétaire par les banques « publiques » engendreront obligatoirement soit une ruine directe des épargnants, soit une perte de valeur des monnaies nationales.