AFS Repères - Le 11...
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.
Notre livre est né d’un constat : au siècle dernier, on a expulsé Dieu de la sphère publique pour l’enfermer dans la sphère privée, et l’on sort la femme du foyer... pour la jeter dans la sphère publique. Étrange coïncidence !
Un foyer déserté par celle qui en est l’âme blesse la société tout entière. Certains voulant asservir notre société, il fallait commencer par en saper les fondations. Il fallait anéantir la fonction de transmission de la femme, sa fertilité, le don, la gratuité et l’amour. L’objectif est-il atteint ? Ce manuel analyse ce processus et propose une alternative pour une vraie refondation des rapports entre hommes et femmes aujourd’hui.
Écrivain et journaliste, Anne Brassié anime une émission littéraire, chaque jeudi, depuis vingt-sept ans, sur Radio Courtoisie.
Les légendes et traditions des saints et saintes se sont mêlées dans l’esprit du peuple, aux mythes et traditions païennes.
La réédition de ce curieux petit essai, longtemps introuvable, est l’occasion de rappeler en quelques pages ce que la fête de « Noël » signifie pour tous ceux, de plus en plus nombreux, qui ne se reconnaissent pas dans un judéo-christianisme en pleine déliquescence.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
Dans l’histoire de l’humanité, nul bien de consommation n’a colonisé la vie
des hommes aussi prestement que la télévision. En un quart de siècle, la
proportion d’individus lisant 20 livres par an a fléchi de près de 50 % tandis que
le nombre de spectateurs consacrant 3 heures par jour à la télévision s’est accru
de plus d’un tiers.
Fait plus préoccupant encore, la consommation audiovisuelle précoce engendre
une altération de la formation du cerveau infantile avec des conséquences
sur sa santé, sa scolarité et ses relations sociales… Si la télévision est dangereuse
pour les enfants, elle l’est aussi pour les adultes. Et le phénomène s’amplifie avec
l’utilisation toujours plus importante d’Internet, de la tablette, du smartphone,
de l’Iphone, etc.
La première version du fascisme que nous présente l’histoire contemporaine est le fascisme italien. À l’origine, c’est un mouvement de militants socialistes et d’anciens combattants qui sauva l’Italie du bolchevisme. Mussolini est le fils d’une institutrice et d’un forgeron militant de l’Internationale. On le met en prison à vingt ans pour avoir fomenté une grève générale. II est d’abord insoumis, s’exile en Suisse, traduit Kropotkine, la première revue qu’il fonde s’appelle La Lutte de classe, le premier journal qu’il dirige est un journal socialiste. Les débuts du fascisme ne démentent pas cette origine.