

Il ne s’agit pas d’être pessimiste sur le futur qui nous attend mais simplement réaliste. Le modèle économico-financier mondial est un grand casino où les gains sont privatisés par les banques privées et les pertes « nationalisées » par les États (les Peuples). Lorsque toutes les grandes puissances économiques du monde s’endettent sans aucune intention de rembourser un jour, il est évident que le manque de gestion des banques privées et l’impression monétaire par les banques « publiques » engendreront obligatoirement soit une ruine directe des épargnants, soit une perte de valeur des monnaies nationales.
« Le présent ouvrage, fruit d’une quarantaine d’années de recherches et d’investigation, est une suite logique de mes ouvrages précédents : l’exposition du contrôle international de l’émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis ; un travail ultérieur révélant le réseau secret d’organisations à travers lesquelles ces forces étrangères exercent un pouvoir politique ; les comités secrets, les fondations et les partis politiques à travers lesquels leurs plans cachés sont mis en œuvre ; et maintenant, à la question la plus vitale de toutes, la manière dont ces déprédations affectent la vie quotidienne et la santé des citoyens américains. »
Désormais, le SARS-CoV-2 responsable de la Covid-19 est mondialement connu… Cette fois, le virus a déclenché une pandémie majeure qui a changé la vie d’un nombre incommensurable d’individus… Cette infection (Covid-19) vient ainsi s’ajouter à la longue liste de maladies qui ont profondément marqué l’histoire de l’humanité, comme la peste, la variole, la fièvre hémorragique Ebola, la grippe espagnole, etc.
Ces épidémies nous rappellent que les menaces biologiques ont toujours existé et sont, aujourd’hui encore, capables d’engendrer le chaos et la mort… Dans ces conditions, ne paraît-il pas sage d’essayer de comprendre un peu mieux ces risques biologiques ?
Préface d'Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherches à l'INSERM
Lorsque la vaccination fut inventée, au XVIIIe siècle, le système immunitaire nous restait entièrement inconnu. Il était impossible de se représenter – et moins encore de comprendre ! – ce que provoque dans l'organisme l'injection d'une substance biologique étrangère. De même lorsque, croyant bien faire, les gouvernements imposèrent une vaccination indifférenciée et systématique à tous les citoyens, on ignorait tout du complexe majeur d'histocompatibilité (CMH), découvert par Jean Dausset en 1958, selon lequel chaque être humain a un comportement immunitaire qui lui est propre et rejette le « non-soi ».
Tout acte médical devrait relever d'un dialogue personnel entre le médecin et chaque patient.
Dans l’histoire de l’humanité, nul bien de consommation n’a colonisé la vie
des hommes aussi prestement que la télévision. En un quart de siècle, la
proportion d’individus lisant 20 livres par an a fléchi de près de 50 % tandis que
le nombre de spectateurs consacrant 3 heures par jour à la télévision s’est accru
de plus d’un tiers.
Fait plus préoccupant encore, la consommation audiovisuelle précoce engendre
une altération de la formation du cerveau infantile avec des conséquences
sur sa santé, sa scolarité et ses relations sociales… Si la télévision est dangereuse
pour les enfants, elle l’est aussi pour les adultes. Et le phénomène s’amplifie avec
l’utilisation toujours plus importante d’Internet, de la tablette, du smartphone,
de l’Iphone, etc.
Dans l’entreprise folle visant à obtenir un monde toujours plus globalisé, financiarisé à outrance, standardisé à l’extrême, c’est bien une hyper-classe mondiale qui a déclaré la guerre aux peuples, à tous les peuples.
Condamnant ainsi chaque individu à un véritable sida mental, chaque nation à un cancer moral, la Pollution, entre autres armes du mondialisme, demeure le plus pernicieux des moyens car presque invisible pour qui ne prend pas le temps de se documenter sur cette menace pourtant bien réelle !
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
L'expression "théorie du complot" a été inventée pour dénigrer ceux qui mettaient en doute la version officielle du 11.09.2001, mais les études sérieuses en montrent l'invraisemblance.