
Les principes du...
Le succès du national-socialisme a répondu à une transformation générale des conditions de la vie dans le monde. C'est ce qu'explique René Martel dans ce brève exposé.
Le livre que nous vous proposons ici n'est pas un simple fac-similé de l'ouvrage de 1938: c'est une véritable seconde édition d'un livre incontournable pour toute personne désireuse de découvrir une vision dépassionnée du Troisième Reich.
- Le livre a été entièrement retapé et la longueur des lignes a été réduite pour améliorer la lisibilité.
- Le texte a été abondamment annoté, afin de préciser le contexte de l’époque qui pourrait être méconnu du lecteur du XXIe siècle.
- Un glossaire reprenant les noms des institutions, des organisations et des partis régulièrement cités dans le livre a été ajouté.
- Les photographies ont été placées directement à côté des paragraphes qu’elles illustrent.
Telles sont quelques-unes des améliorations apportées par cette nouvelle édition.
Le succès du national-socialisme a répondu à une transformation générale des conditions de la vie dans le monde. C'est ce qu'explique René Martel dans ce brève exposé.
Cette brochure aborde la question de la condition de l’ouvrier dans le Troisième Reich à travers un texte et un reportage photographique écrits et réalisés à l’époque de la guerre:
– Pourquoi l’ouvrier allemand est-il pour Adolf Hitler? Étude de Hans Munter;
– L’ouvrier allemand: Reportage photographique de Harald Jahrl.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Comment cela est-il arrivé ? Comment les peuples de la terre, épris de liberté, sont-ils devenus les esclaves des juifs ? En bref, les non-juifs ne se serrent pas les coudes ; beaucoup parmi eux, sincères et malavisés, croient au blasphème selon lequel le Christ était un juif, et que les juifs sont nos dirigeants naturels parce que notre Dieu est un juif ; et puis, les juifs dépensent des fortunes chaque année pour dissimuler leurs crimes, alors que les Goyim ne dépensent rien pour découvrir ce que font les juifs. Notre histoire a été falsifiée dans le seul but de dissimuler la culpabilité des juifs dans le déclenchement de la quasi-totalité des révolutions et de nombreux autres désastres mondiaux.
Vincent Reynouard dissipe les légendes malveillantes qui entourent les JO de Berlin, à commencer par celles qui concernent la victoire de Jesse Owens…