Rébellion no 100 - Textes...
Au sommaire du numéro 100 :
Editorial :
« Rendre possible Ce qui est nécessaire » ( Louis Alexandre)
Héritage :
Les Orientations Nationales Bolchéviques ( Jean Galié)
Les idées-forces du National-bolchevisme ( Axel Nrnak)
Un socialisme pour le XXIème siècle :
Patrie et socialisme : L’idée nationale à réinventer ( Louis Alexandre)
Non à la gauche, oui au socialisme ( Charles Robin)
L’esprit de communauté, c’est le socialisme en pratique ( Louis Alexandre)
Pour des communautés populaires autonomes et offensive ! ( Louis Alexandre)
Terrains de lutte
Réflexion sur la vie en communauté
Parole d’une gilet jaune ( Camille Mordelynch)
La France éclatée : les cités ( Louis Alexandre)
Entretien sur la violence avec Thibault Isabel
Le futurisme politique
Au début du XXe siècle, un mouvement d’avant-garde naquit en Italie qui secoua la vieille Europe et mena sa révolution culturelle comme une rafle de police : le Futurisme.
Le Futurisme n’est pas qu’une école de peinture ou un courant littéraire. C’est une philosophie de la violence et du dépassement, un nationalisme incendiaire, une voie héroïque à l’usage exclusif de l’homme moderne.
Cet ouvrage, qui rassemble dix-huit textes écrits entre 1909 et 1937 par le père du mouvement (Filippo Tommaso Marinetti), vise à mettre en lumière les fondements de la pensée politique du Futurisme au XXe siècle. Nous espérons que sa lecture insufflera dans quelques esprits une dynamique nouvelle : un vent de haine et de fureur au service d’une foi aveugle en l’avenir !
Hiérarchie et démocratie -...
Composé de deux articles d'Evola parus en 1938 et 1941 ainsi que d'un texte de René Guénon paru en 1936, ce recueil constitue une parfaite introduction à l'oeuvre de celui qui est considéré comme le plus grand penseur de droite d'après-guerre. Les deux auteurs s'y accordent sur le constat que le plus ne saurait venir du moins, pas plus que le supérieur ne le pourrait de l'inférieur.
Le Génie d'Israël - Julius...
Le génie D'Israël ou l'Aspect Destructeur du Judaïsme
De décembre 1936 à septembre 1941, Julius Evola a publié quarante articles sur la question juive dans diverses revues italiennes, principalement dans Vita Italiana, tous signés Arthos, sauf huit signés Julius Evola.
Trente-et-un de ces textes, dont la Guerre Occulte - Juifs et Francs-Maçons à la conquête du monde, tous publiés dans Vita ltaliana de Giovani Preziosi, ont été réunis dans ce livre auquel l'éditeur a choisi de donner le titre d'une série de trois articles d'Evola parus dans cette revue en 1936 sur l'action du Judaïsme : "Le Génie d'Israël".
Sexologie et mensonges -...
De l'Indiana à la Croatie, en passant par la France, le Québec et l'Allemagne pré-nazie, une plongée dans le monde de la sexologie selon Alfred Kinsey, contre lequel s'est élevée Judith Reisman.
Seule contre tous ou presque, cette mère dévouée et heureuse, secouée par un drame familial sur lequel plane l'ombre du Dr Kinsey, a analysé et dénoncé l'imposture planétaire qui porte les noms de"révolution sexuelle", sexologie et science du sexe, et fait de l'Amérique pudibonde et vertueuse d’avant-guerre le centre mondial du changement de sexe à l'école et des défilés homosexuels.
Marion Sigaut a mené l'enquête et partagé son combat à Paris, Zagreb et Montréal.
La marche rouge - Marion...
En mai 1750, une rumeur faisant état d’enlèvements d’enfants mit Paris en émoi. Les gens disaient que des agents de police déguisés s’en emparaient et les envoyaient à l’Hôpital général. Des émeutes graves éclatèrent, des commissariats furent incendiés et des gardes tués. La répression de cette "Marche rouge" fut sévère et se solda par des condamnations à mort.
Mais qu’était donc cet Hôpital général dirigé par les magistrats du Parlement de Paris ?
Que sont vraiment devenus ces enfants ?
Autant de questions auxquelles Marion Sigaut, dans une enquête passionnante, tente d’apporter des réponses.
L'envoyé de l'archange -...
L’Envoyé de l’Archange a été composé par Jérôme (1874-1953) et Jean (1877-1952) Tharaud à la suite du voyage effectué en Roumanie par l’aîné des deux frères fin 1937. Publié en janvier 1939, il n’avait jamais été réédité. Cet ouvrage, qui se présente comme une histoire de la Roumanie contemporaine, comporte deux fils conducteurs. Le premier, comme le titre l’indique, est l’itinéraire de Corneliu Codreanu, fondateur de la Légion de l’archange Michel puis chef de la Garde de fer, assassiné sur ordre du gouvernement fin novembre 1938. Le second est la « question juive », les frères Tharaud, auteurs de plusieurs livres antisémites (notamment Quand Israël est roi), retrouvant en Roumanie les éléments de la « conquête juive » décrite pour la France par Édouard Drumont.
Catholique et fasciste...
Nous sommes catholique, et nous sommes fasciste. Mais surtout, nous sommes catholique et fasciste. Le « et » est ici le plus important. Car, si nous concevons l’ordre naturel et l’ordre surnaturel comme deux ordres réellement distincts, nous ne les comprenons cependant pas comme deux ordres séparés. De sorte que notre fascisme n’a d’autre raison suffisante que notre catholicisme. Tout se tient, car le réel est un ; notre pensée prend la forme d’un système, car le réel est lui-même systématique.
Abécédaire mal-pensant -...
On prête à Ledru-Rollin la mémorable ânerie suivante : « Je suis leur chef, il faut que je les suive. » Cette formule dit toute la stupidité de l’idée démocratique. Pourtant la démocratie survit, nonobstant son incohérence. C’est donc que les régimes supposés démocratiques ne sont tels qu’en apparence : une aristocratie inavouée — la judéo-maçonnerie — maîtresse des puissances d’argent conditionne l’esprit public, ainsi les suffrages, en ayant la haute main sur tous les vecteurs sociaux de formation des esprits. Des journalistes, des penseurs, des historiens non conformistes, des politologues courageux et pédagogues s’emploient depuis longtemps, avec dévouement et compétence, à éclairer les bonnes volontés sur les mensonges de la démocratie.
Pour une contre-révolution...
Les honnêtes gens n’ont de cesse de dénoncer la perfidie des révolutionnaires (la progéniture de 89 et de Vatican II), tout en soulignant le grotesque de leurs thèses. Si, par-delà leur capacité d’échauffer les passions, ces thèses n’étaient douées d’un pouvoir efficace de susciter l’adhésion intellectuelle, elles ne jouiraient ni de l’aptitude à faire s’écrouler le monde spirituel et politique fondé sur le bon sens et dont nos bien-pensants navrés cultivent la nostalgie, ni du pouvoir d’empêcher la résurrection d’un tel monde. Or l’intelligence en tant qu’intelligence ne peut être séduite que par la vérité. Si donc elle est emportée par la puissance des doctrines fausses, c’est que ces dernières sont porteuses de vérités captives qu’elles confisquent et dénaturent.
Une réponse nationaliste au...
Le mondialisme satanique est l’horizon de plus en plus visible de l’histoire contemporaine frénétiquement secouée par des aspirations eschatologiques dévoyées, vécues sur le mode d’un collapsus mortifère de toutes les identités nationales traditionnelles. Le mondialisme est satanique parce qu’il est la forme politique que se donne l’homme révolté pour procéder à une réalisation terrestre du Souverain Bien, c’est-à-dire du Royaume qui pourtant, par essence, n’est pas de ce monde. L’imminence d’un tel danger invite les croyants, les patriotes et plus généralement tous les hommes de bonne volonté attachés à l’ordre des choses, à se tourner, pour le conjurer, vers des solutions exclusivement non politiques (telle la prière).
Pour un fascisme thomiste -...
Notre but n’est nullement de faire de saint Thomas un fasciste. D’abord, parce que cela relèverait de l’anachronisme pur. Ensuite, parce que nous avons bien trop de respect à l’égard du Docteur angélique pour lui faire dire ce qu’il n’a pas dit ; nous laissons ce genre de forfaitures aux spécialistes de la magouille intellectuelle.
Notre but n’est pas non plus de faire de Benito Mussolini, ni même de Giovanni Gentile — philosophe officiel du fascisme, et auteur de la première partie de La Doctrine du fascisme de Mussolini — de fervents thomistes. Ce serait en effet, là aussi, quelque peu malhonnête : ni le Duce ni son philosophe n’ont eu de formation spécifiquement thomiste, et l’on voit mal comment des individus qui n’ont pas étudié un penseur pourraient s’en inspirer.