Note sur la suppression...
Le fait que les partis existent n’est nullement un motif de les conserver. Seul le bien est un motif légitime de conservation. Le mal des partis politiques saute aux yeux… Le problème à examiner, c’est s’il y a en eux un bien qui l’emporte sur le mal et rende ainsi leur existence désirable. Mais il est beaucoup plus à propos de demander : Y a-t-il en eux même une parcelle infinitésimale de bien ? Ne sont-ils pas du mal à l’état pur ou presque ? S’ils sont du mal, il est certain qu’en fait et dans la pratique, ils ne peuvent produire que du mal. C’est un article de foi. « Un bon arbre ne peut jamais porter de mauvais fruits, ni un arbre pourri de beaux fruits ». Mais il faut d’abord reconnaître quel est le critère du bien.
Discours de la servitude...
Le Discours de la servitude volontaire, – texte majeur de la philosophie politique, repris à travers les âges –, constitue une remise en cause de la légitimité des gouvernants ainsi qu’une analyse sur les raisons de la “soumission” du peuple.
Bien qu’Étienne de La Boétie soit toujours resté, de par ses fonctions, serviteur de l’ordre public, il est cependant considéré comme le précurseur intellectuel de la “désobéissance civile”.
L’homme tue et la femme...
L'HOMME TUE ET LA FEMME REND FOU se balade dans notre époque pour nous dévoiler enfin la construction, le mécanisme et le terminus de l'esprit (mauvais) auquel nous obéissons… en nous prenant pour des Lumières.
La foi et l'obéissance n'étant dissociables dans aucune religion, l'Occident est désormais, plus encore qu'il n'y paraît, un monde d'athées purs et durs. Mais se définir ainsi par la négative n'est pas très éclairant. Car à moins d'avoir perdu la raison, tout homme croit nécessairement en un esprit, c'est-à-dire en une certaine définition du vrai, du bien et du mal.
Un honnête homme égaré dans...
Pendant l’un de ses cours au collège de Lemberg, Jean- Louis Berger démontra qu’une photographie de cadavres dans un camp de concentration allemand pouvait aisément passer pour une preuve de l’Holocauste, alors que les cadavres en question étaient ceux de victimes d’un bombardement allié.
Jean-Louis Berger a tenté d’éveiller l’esprit critique de ses élèves: pour l’Éducation nationale, c’était inadmissible! Rien que la révocation, les amendes et les peines de prison n’étaient capable d’expier son forfait : on le lui fit bien voir
Préface à la politique -...
LA COLLECTION DOCTEUR COMMUN
Dirigée par Jean Madiran, cette collection se propose principalement de fournir – accompagnée du texte en latin – une traduction, dans la langue d’aujourd’hui, des œuvres de saint Thomas d’Aquin dont la traduction française est depuis longtemps introuvable en librairie, ou même n’a jamais encore été effectuée. Chaque traduction est précédée d’une introduction et éventuellement accompagnée de notes explicatives
Dans la collection
- LES PRINCIPES DE LA REALITE NATURELLE (De principiis naturae). Introduction, traduction et notes par Jean Madiran ; avec l’AVERTISSEMENT de la Collection Commun.
- LE PATER ET L’AVE. Introduction, traduction et notes par un moine de Fontgombault
- LE CREDO. Introduction, traduction et notes par un moine de Fontgombault.
Les Métis - Docteur René...
255 pages.
Intérieur du livre reproduisant composition et mise en pages de l'édition originale.
Chargé du Cours d’Immigration à l’Institut d’Hygiène de la Faculté de Médecine de Paris et professeur de Cours libre d’Anthropobiologie des races, le docteur René Martial (1873-1955) vit ses travaux mis en concurrence avec ceux de George Montandon son rival, durant les années 30-40.
Dans cette singulière étude à la fois historique et scientifique, parue en 1942 sous l’occupation allemande, l’auteur tend à prouver le choc des hérédités du métissage avec des groupes très différents (méthode dite de race-résultat), ce qui conduit certains métis à une instabilité psychique et à d’autres problèmes dysharmoniques.
Joseph de Maistre - Propos...
Père de la philosophie contre-révolutionnaire et principal critique des idées des Lumières, le comte Joseph de Maistre (1753-1821) nous livre ses considérations sur la guerre à travers un dialogue entre trois protagonistes : un sénateur, un chevalier et un comte.
La guerre est, selon lui, divine en elle-même, puisque c’est une loi du monde régissant l’humanité depuis les origines.
Un texte qui fera hurler les pacifistes de tout poil mais néanmoins nécessaire de redécouvrir à l’heure de la multiplication des conflits aux quatre coins de la planète.
Tous les hommes naissent et...
Assez de jouer à l’étourdi ou à l’esprit fort ! Ignorer l’au-delà est un aveu de faiblesse philosophique… Il est âgé. Il a été médecin, accoucheur. Il s’est voulu chrétien. La mort, pourtant, le taraude. Christian Combaz lui écrit, lui rappelle les réanimations inespérées, les comas illuminés, les expériences et les témoignages sur la « vie après la vie ». Pari de Pascal, philosophie de la conscience, mysticisme religieux, rapts extatiques d’un côté, physique quantique, progrès des neurosciences, chimie du cerveau, substances psychotropes de l’autre : c’est dans l’exploration du mystère le plus extravagant et le moins douteux que nous sommes ici entraînés.