Caramel et la petite poule...
Picotine, l'amie de Caramel, est triste car elle n'arrive pas à pondre comme les autres poules de la basse-cour. Caramel va tout faire pour lui rendre le sourire.
En parallèle à sa magistrale Histoire de France, Jacques Bainville a écrit une Petite histoire de France pour les enfants. Il souhaitait que ceux-ci connaissent le nom des rois qui ont fait la France, comme le récit des grandes batailles où s'étaient illustrés les héros de notre pays. Au fil de la lecture, le récit des origines à nos jours surgit et les références qui constituent notre patrimoine commun, notre civilisation, notre destin apparaissent aux jeunes lecteurs. Le passé se déroule, telle une immense fresque. Les règnes s'enchaînent. Vercingétorix, Clovis, Charlemagne, Hugues Capet, Saint-Louis, François Ier, Henri IV, Louis XIV, Louis XVI, Napoléon... se succèdent jusqu'en 1920. Il fallait une suite. Nous l'avons demandée à Marc Geoffroy.
Picotine, l'amie de Caramel, est triste car elle n'arrive pas à pondre comme les autres poules de la basse-cour. Caramel va tout faire pour lui rendre le sourire.
Très jolie petite collection avec de belles illustrations de Apolline Dussart, pour de tout petits enfants, de un à quatre ans.
La plupart des écoliers de France, je pourrais même dire la plupart des Français, se figure que la Révolution de 1789 fut le point de départ des luttes prolétariennes pour la liberté et l’égalité sociales. Ils ignorent tout de cet immense mouvement d’émancipation qui secoua l’Allemagne au XVIe siècle et que l’histoire désigne sous le nom de Guerre des Paysans.
Ce petit livre, qui suit pas à pas la vérité historique, leur apprendra ce que fut cette guerre des paysans allemands contre leurs exploiteurs, les princes, les nobles et les prêtres ; il leur montrera ce qui sépare ces prolétaires des révolutionnaires bourgeois de 1789, ce qui les apparente aux communards parisiens de 1871.
Avant d’être arrêté et incarcéré à Édimbourg, Vincent Reynouard a eu le temps de terminer et d’éditer son dernier livre : « ORADOUR, le cri des victimes » (464 pages).
Ainsi, un quart de siècle après la parution de son livre sur le drame d’Oradour-sur-Glane, Vincent Reynouard en publie une seconde édition, largement actualisée, complétée et enrichie sur cette tragédie. De sa prison, Vincent Reynouard a confié, le 14 novembre dernier : « Cet ouvrage est l’œuvre de ma vie. »
En 2014, dans une brochure parue à l’occasion soixante-dixième anniversaire du drame d’Oradour, un historien accrédité écrivit: «Des maquis installent au fil des mois plusieurs camps dans les monts de Blond, à une quinzaine de kilomètres au nord du village [Oradour-sur-Glane].»
Durée totale 171 min - PAL - ZONE 0 - VF + VOST
Depuis le IXème siècle, des millions de pèlerins du monde entier s'engagent sur cette voie initiatique. Le film nous offre un voyage à l'intérieur des coeurs et des esprits de six pèlerins modernes, confrontés à la solitude, à l'épuisement et aux doutes, mais parvenant finalement à surmonter tous les obstacles...
BONUS : Conférence inédite de Patrick Burensteinas, alchimiste.
+ Carte des chemins de Compostelle, Diaporama des photos de tournage et affiches du film.
Le cinéma subversif est une notion qui, avancée comme telle, veut tout et rien dire. Si nous nous faisons une idée relativement commune de ce qu’est le cinéma, l’accord est moins évident lorsqu’il s’agit de définir ce qui y fait subversion. Généralement indiqué dans un contexte militaire et politique, le subversif investit également le champ de l’art et plus particulièrement le champ de l’art cinématographique. L’acte subversif au cinéma est une histoire de contextes socioculturels et géopolitiques déterminés. De ce point de vue, norme et subversion de la norme diffèrent selon que nous soyons dans l’Espagne des années 1920, dans le Sénégal des années 1970 ou encore dans la France des années 2010.