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Instructions pour une prise...
Une théorie du coup d’Etat datant de 1868 par un homme qui inspira tant Lénine que Mussolini.
La Société Thulé - Detlev Rose
Toute personne qui s’est, de près ou de loin, intéressée un tant soit peu à l’histoire du national-socialisme a forcément croisé la Société Thulé à un moment ou à un autre. C’est de cette organisation mystérieuse dont traite cet ouvrage.
Thulé, c’est la patrie pleine de secrets des Aryens, une prétendue race de surhommes aux capacités presque divines et aux connaissances inaccessibles à l’homme moderne. Thulé : rien que ce mot est porteur de magie. Il porte en lui une fascination irrésistible, éveille des images profondément enfouies dans l’inconscient : des images de pureté, de grandeur et d’héroïsme, de représentation mythologique.
Nous et les autres - Alain...
Rappelant que la problématique de l’identité est essentiellement une problématique moderne, Alain de Benoist en retrace la généalogie. Il rappelle que la dynamique libérale, en arrachant l’homme à ses liens communautaires et traditionnels, a mis en oeuvre un processus d’indistinction qui, par contrecoup, explique la montée des identités politiques et des identités de classes.
Nos Ancêtres les Gaulois -...
Les Gaulois sont-ils des barbares ? Sommes-nous les descendants d'un peuple vil et embourbé au fond de sa hutte ? L'historien Lorris Chevalier mène méthodiquement une croisade contre ces stéréotypes pernicieux et dresse le tableau de l'héritage gaulois. À rebours de la légende, les Gaulois forment un peuple ingénieux, curieux, voyageur dont certaines moeurs ont été transmises à notre temps sans que nous le sachions. Ce livre sert de manuel à quiconque s'interroge sur les ancêtres des Français.
Lorris Chevalier, historien médiéviste, diplômé des universités de Lyon, Besançon et Barcelone, est l'auteur de plusieurs livres concernant l'époque médiévale. Il est actuellement conservateur du patrimoine de la Forteresse de Berzé en Bourgogne du Sud.
Un amour de petit chien,...
Un petit chien erre au bord de la route. Il a été abandonné. Il cherche désespérement une nouvelle famille à aimer, mais tout le monde le rejette. Sera-t-il enfin adopté et heureux ?
Nouvelle Ecole no69 -...
Nouvelle École se penche sur Charles Péguy et Georges Bernanos, deux des plus puissantes voix françaises dont l’écho a traversé les aires géographiques et les époques. À la manœuvre, Alain de Benoist, assisté par le professeur Éric Maulin. Une 69e livraison riche, passionnante, émouvante aussi.
Sommaire
• Bernanos et Péguy. Vocation et saluts de la France, Thibaud Collin
• Le socialisme de Péguy, Jean-Louis Prat
• Mystique et politique chez Péguy, Matthieu Giroux. Entretien avec Alain de Benoist
• L’habitude, source du désespoir chez Charles Péguy, Matthieu Giroux
• « Les cahiers de la Quinzaine », Geraldi Leroy
• Avec Jeannette. Bruno Dumont et Charles Péguy, Ludovic Maubreuil
• Bibliographie Péguy (2005-2020), Alain de Benoist
• Leur présence réelle. Témoignage, Rémi Soulié
Hugo Chavez - Vincent Lapierre
Né en 1954 dans un petit village au pied de la cordillère des Andes, Hugo Chávez est le second fils d’une famille de sept enfants. Élevé en grande partie par sa grand-mère, Mama Rosa, qui confectionnait des friandises que le petit Huguito allait vendre dans les rues après l’école, il rêve de devenir joueur de baseball. Mais très vite, touché par la misère qu’il voyait autour de lui et pris d’amour pour son peuple, il s’intéresse à la politique, et en particulier aux écrits de Simon Bolivar, le Libérateur, et à l’âge de dix-sept ans rejoint l’armée vénézuélienne.
Patriote, catholique, ayant comme modèle la figure d’un Christ à la fois empli de compassion pour les plus faibles et en colère contre les fourbes et les persécuteurs, il défend un socialisme au service de l’humain.
Petite Histoire de France -...
I. La préhistoire. Le temps des chasseurs (le Paléolithique) - Le temps des agriculteurs (Le Néolithique) - Les Celtes.
II. Les Gaulois.
III. La Gaule romaine (Ier s. av. J.-C. - IVe s. ap. J.-C.).
IV. Les royaumes barbares (Ve-VIIIe s.).
V. Charlemagne et l'Empire carolingien (fin VIIIe s. - Xe s.).
VI. La féodalité.
VII. La chevalerie, l'Eglise.
VIII. Les pèlerinages ; Les croisades ; L'art roman.
IX. Les premiers Capétiens (de Hugues Capet à Louis VII).
X. Philippe Auguste (1180-1223).
XI. Blanche de Castille, saint Louis (1226-1270).
XII. Philippe le Bel.
XIII. La guerre de Cent ans, de Philippe VI à Charles V (1328-1380).
XIV. Charles VI, la guerre civile (1380-1422).
XV. Jeanne d'Arc, Charles VII (1422-1461).
XVI. Louis XI, Anne de Beaujeu (1461-1483).
Chants d'Europe I - Chœur...
Ces Chants ont accompagné les veillées, ils ont rythmé les marches guerrières, ils ont exalté les victoires et consolé des défaites.
Voici les dragons de Noailles, les cuirassiers, les lansquenets, les cosaques ; des français, des Russes, des Allemands, l’évocation des vieilles querelles et des grandes espérances.
Écoutez ces chants, ils racontent l’histoire de l’Europe des Patries.
« Pierre Durand»
Quelques titres de chants :
Les dragons de Noailles • Le combat de demain • Les cuirassiers • Sur la route • Les lansquenets • Les cosaques • La blanche hermine • Les partisans blancs • Les chacals • Le Kyrie des gueux • Nous sommes de la Légion • Le chant des marais • En avant parcourant le monde • Les bérets verts.
Euthanasie, stade suprême...
Ses tenants ont beau la magnifier comme le bouquet final d’un feu d’artifice des mille libertés, l’euthanasie n’est que le produit d’une économie et d’une politique. C’est parce que l’Europe de la récession, aux 20 millions de pauvres, est devenue un océan de chômage du fond duquel ne monte plus aucune étoile nouvelle, que le gouvernement de la France, financièrement acculée, choisit en effet «la piqûre pour tous». Comme une seringue d’or facilitant les équilibres budgétaires, dans un bouillon de culture qui sent le ranci des vieilles idéologies, du malthusianisme, de l’obscurantisme et du nihilisme.
L'Ennemi de l'Europe -...
L’Ennemi de l’Europe fut rédigé en 1948. Il était destiné à être la troisième partie d’Imperium, l’œuvre maîtresse de Francis Parker Yockey.
À le lire, on se rend compte que Yockey fut un visionnaire. Il avait prévu l’effondrement intérieur du communisme et le retour de la vraie Russie. Il avait compris que la domination américaine était infiniment plus dangereuse pour l’Europe que la dictature soviétique. Il avait perçu encore que le temps de l’« Amérique blanche » était passé.
De plus, l’appel de Yockey en faveur de l’unité organique européenne est plus actuel que jamais. Dans un monde globalisé où seuls compteront les grands ensembles civilisationnels d’au moins trois cents millions d’habitants, les États isolés apparaissent de plus en plus comme un vestige du passé.