Les Hérétiques - Saint-Loup
Après Les Volontaires, récit des aventures de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme (LVF), SaintLoup raconte ici la suite de cette épopée avec la constitution de la 33 e division SS Charlemagne. Anciens de la LVF, de la Brigade Frankreich, de la Kriegsmarine, de l’organisation Todt, miliciens arrivés après l’avancée alliée sur le sol français, ce sont au total 7 340 hommes qui acceptent, parfois avec réticence, de revêtir l’uniforme SS.
Ecrits révisionnistes III -...
Au sommaire: Mon expérience du révisionnisme (septembre 1983-septembre 1987). – Préface au second rapport Leuchter. – Contre le révisionnisme historique, la loi Fabius alias Gayssot. – Katyn à Nuremberg. – Un mensonge gros comme le siècle (Timosoara). –Un faux: « La prière de Jean XXIII pour les juifs ». – Arno Mayer, texte et traduction. – Chronique sèche de l’Épuration. Exécutions sommaires dans quelques communes de Charente limousine. – Le premier historien révisionniste après la Seconde Guerre mondiale. – L’origine du mythe. Le mythe des « chambres à gaz » remonte à 1916. – En prévision du témoignage du professeur René Rémond. – Wannsee: « une sotte histoire ». – Le faux témoignage d’Henry Bily. – À propos de l’arrêt Touvier, l’affaire des « juifs bruns ».
Ecrits révisionnistes IV -...
Au sommaire : Le révisionnisme historique devant les tribunaux français. – Le ghetto de Varsovie : insurrection ou opération de police ? – Primo Levi sur Auschwitz. – Les témoins des chambres à gaz d’Auschwitz. – Les juifs bruns ont collaboré avec l’Allemagne de Hitler. – Milices juives : quinze ans et plus de terrorisme en France. – Combien de morts à Auschwitz ? – Bilan de l’affaire Garaudy/abbé Pierre. – Questions à l’Unesco au sujet d’Auschwitz. Etc.
Eléments HS no 2 - Notre...
Une histoire incorrecte
Éditorial
06 Le retour du rideau de fer
Par Alain de Benoist Éléments
n° 196, mai 2022
Débat
10 La question qui dérange : le salut passera-t-il par la Russie soviétique ?
Débat Jean Mabire-François Dirksen
Éléments n° 26, printemps 1978
Communisme
16 Pourquoi nous sommes anticommunistes
Par Alain de Benoist
Éléments n° 57-58, mars 1986
18 Misère de la kremlinologie : l’énigme soviétique
Par Robert de Herte
Éléments n° 57-58, mars 1986
22 L’urbanisme soviétique : modèle ou catastrophe ?
Par Michel de Sablet
Éléments n° 28-29, mars 1979
Sciences
24 Quand l’URSS planifiait le surhomme : la face cachée de l’eugénisme russe
Par Charles Champetier
Éléments n° 92, juillet 1998
Histoire
30 Dominique Venner : une histoire de l’Armée rouge
Par Philippe Conrad
Éléments n° 39, juin 1981
Miguel Primo de Rivera -...
Préface d’Arnaud Imatz
Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne : 1923-1930… Un ouvrage consacré au général Miguel Primo de Rivera (1870-1930) qui, après des années de fiascos politiques et économiques, permit à l’Espagne de se redresser, en rétablissant l’ordre public, en réussissant la pacification du protectorat espagnol au Maroc, en impulsant d’importants travaux publics et de nombreuses réformes économiques et en tentant un changement institutionnel qui ne put néanmoins parvenir à son terme.
Le Régime politique de Miguel Primo de Rivera a duré du 15 septembre 1923 au 28 janvier 1930 ; il est singulièrement méconnu en France.
L'Espagne ensanglantée -...
Une violence qui jouera un rôle majeur dans l’effondrement de la seconde République
Anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires : 1880-1939
À partir de la fin du XIXe siècle, l’Espagne va souffrir d’importants mouvements anarchistes, entrainant une violence politique sans précédent. L’auteur décrit ces crimes et assassinats terroristes qui vont ensanglanter la péninsule, l’empêchant de progresser. Des plus hauts dignitaires de l’État, des ecclésiastiques, ou de simples gens du peuple vont être abattus au nom du communisme libertaire.
L’auteur campe les factions anarchistes espagnoles responsables de ces déchainements, ainsi que la vie des principaux meneurs.
Les trahisons des gauches...
Du républicanisme au totalitarisme : 1930/1936
Le 14 avril 1931, la monarchie Bourbonienne s’étant effondrée comme un château de cartes, la IIe République espagnole est auto-proclamée, par les gauches républicaines, grâce à des mouvements de foule incontrôlés, dans les plus grandes villes d’Espagne. L’auteur démontre, faits et références historiques à l’appui, comment « la légende dorée » de cette République espagnole alors à gauche, doit être remise en cause. Le livre met aussi en évidence que l’actuel débat politique espagnol, du fait de l’alliance gouvernementale de la gauche avec l’extrême gauche, est entaché, voire perverti plus que jamais par le ton et les clivages de cette époque, qui remontent à la surface.
Dès lors, ce livre a toute sa place dans les « vérités pour l’histoire ».
Histoire de la guerre...
560 p.
300 photos, index de 600 entrées
Ed. Les Sept Couleurs (Associations des amis de Robert Brasillach), 2023.
« Ils ont à peine plus de trente ans, ils sont attentifs à leur époque, ils aiment les terres brûlantes de l’Espagne où la guerre civile a éclaté en juillet 1936. D’observateurs passionnés, Maurice Bardèche et Robert Brasillach vont se transformer en historiens.
Pari risqué, car la guerre d’Espagne vient à peine de se terminer; elle s’achève le 1er avril 1939 et le livre paraît en juillet. Sachant qu’il leur manque le recul, nos deux chroniqueurs s’astreignent à la prudence.
Solidement documentés, avec une application quasi estudiantine, ils dénombrent les effectifs, décrivent les mouvements de troupes, rendent compte des réactions diplomatiques.
Dans mon imagination ......
En 1988, après dix ans de recherche, Carlos Porter publie Made In Russia: The Holocaust, une compilation de quelque 400 pages photocopiées de la transcription du procès de Nuremberg et archives connexes, « prouvant » un ensemble de mensonges auxquels personne ne croit plus (ex. : les chambres à vapeur, les chambres sous vide, les chambres avec trappe piégée…), en somme, les délirantes accusations portées contre les Allemands aux procès de Nuremberg…
À son grand étonnement, le livre ne provoqua presque aucune réaction, que ce soit à l’époque ou par la suite. La seule réaction est venue d’une personne intelligente qui lui a dit : « Votre livre est absolument incroyable. Les Allemands avaient-ils vraiment des machines à pédale pour écraser le cerveau pour fabriquer du savon humain ? »
Adolf Hitler la plus grande...
Et si l’on nous avait menti sur toute la ligne. Si l’homme le plus diabolisé de l’histoire humaine fut en réalité le négatif photographique de ce monstre de Frankenstein, de cet épouvantail à Goyim qui, aujourd’hui plus que jamais, incarne le mal absolu aux yeux de l’écrasante majorité de nos contemporains pris en étau dans cet infernal mensonge. Mensonge, assurance-vie et incommensurable rente tout à la fois pour ses diaboliques instigateurs, qui s’est peu à peu mué en religion ultime, forgé qu’il fut à travers une machiavélique malversation mémorielle d’ampleur inédite.