SS - Paul Hausser
Première édition française de ce livre qui a été réédité dix-sept fois en Allemagne depuis sa parution.
L'ex-Oberstgruppenführer Paul Hausser y retrace la carrière et les faits d'armes des divisions de la Waffen-SS qui, des cent mille hommes de 1940 passera à neuf cent cinquante mille à la fin de 1944. Le livre, préfacé par Guderian, est de plus émaillé de récits qui racontent les combats des SS en France, en Russie, en Yougoslavie, en Allemagne et à Berlin avec le récit des derniers combats de volontaires français.
Combats pour l'honneur -...
Après avoir survécu au front de l'Est avec la LVF, à la Junkerschule de Neweklau et aux combats de Poméranie, Jean Malardier se porte volontaire pour gagner Berlin avec le SS Brigadeführer Krukenberg et le Waffen-Hauptsturmführer Henri Fenet en compagnie de plus de 300 autres Waffen-SS français de la division Charlemagne. Il va participer aux terrifiants combats contre une Armée Rouge innombrable et suréquipée, essayant de reculer autant que possible l'inéluctable.
Pourquoi Hitler était-il...
« “Les nazis ont exterminé les juifs. Cette extermination est la conséquence logique de l’antisémitisme nazi : en tant que haine irrationnelle, cet antisémitisme poussa les Allemands aux dernières extrémités.” Tel est le discours que nous tiennent aujourd'hui les historiens. Quoique logique, il repose cependant tout entier sur deux assertions : premièrement, l’antisémitisme allemand était irrationnel et, deuxièmement, en tant que sentiment irrationnel, il a poussé les Allemands à commettre en acte fou : l’extermination systématique de plusieurs millions d’innocents. L’objet du présent ouvrage sera donc de vérifier la validité de ces deux assertions. »
Dans cet ouvrage, Vincent Reynouard rappelle les racines de l'antisémitisme en Allemagne à partir des années vingt.
Introduction au...
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Monte Cassino - Marie Pererou
Le 15 février 1944, en quelques heures à peine, la vénérable abbaye du Mont-Cassin fut anéantie par l'aviation alliée. «453 tonnes de bombes ont été lâchées, en huit vagues successives, par 239 bombardiers.» Fort heureusement, tous les trésors inestimables que contenait cette très ancienne abbaye — objets religieux, reliques, livres, manuscrits, incunables, sans compter des tableaux de maîtres venus de Naples pour y être en lieu sûr pendant la guerre - avaient été évacués quelques semaines plus tôt.
Ce que l'on omet de rappeler de nos jours, c'est que tous ces précieux témoins de la civilisation occidentale avaient été évacués par les Allemands.
Cet ouvrage donne le récit de cette incroyable opération de sauvetage dont nous sommes tous redevables encore aujourd'hui.
J'étais dans l'orchestre de...
Ce livre est une analyse du surprenant témoignage de Szymon Laks, musicien dans l'orchestre de Birkenau, qui offre une vision de la vie dans les camps bien différente de celle en noir et blanc que brossent les défenseurs de la thèse officielle.
La présente étude est née de la lecture de Musiques d'un autre monde, témoignage sur Auschwitz écrit par Szymon Laks et publié en 1948.
Certaines informations contenues dans ce livre étaient si surprenantes que l'auteur voulut les recouper avec d'autres documents. Ce travail était nécessaire pour répondre à l'objection que formulent habituellement les défenseurs de la thèse officielle quand on leur présente un témoignage qui contredit leur vision de l'Holocauste: «C'est une exception, donc cela n'a aucune valeur», répondent-ils.
Gestapo - Vincent Reynouard
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
Pardon Maman, j'avais tort...
Les procès et tribulations de la fratrie Schaefer
Au début des années 1950, Otto Schaefer et Editha Schmilinsky ont émigré d’Allemagne au Canada. Ils se sont rencontrés, sont tombés amoureux, se sont mariés et ont rapidement eu des enfants. Je suis l’un de ces enfants.
Ma mère et mon père étaient fiers de leur héritage, même si on leur répétait sans cesse qu’ils ne devaient pas l’être. Les Allemands étaient des brutes, des bellicistes et responsables de “l’Holocauste”. C’est aussi ce qu’on nous enseignait à l’école, à nous les enfants. C’était répété à l’envi dans chaque film ou programme télévisé que nous voyions. Je croyais de tout cœur que notre peuple était responsable des plus grands crimes de l’histoire.
Europa - Valérie Devon
Le présent ouvrage (EN FRANCAIS) reprend précisément la traduction française du documentaire audio-visuel, Europa la dernière bataille (Europa the last battle), qui expose de manière méthodique et sans équivoque les sources et les causes de la plupart de tous nos maux depuis le début du XXe siècle à nos jours.
Dietrich Eckart - Gérard Leroy
Par les dernières lignes de Mein Kampf, Adolf Hitler rend un vibrant hommage à Dietrich Eckart, qu'il associe aux martyrs du 9 novembre 1923 tombés devant la Feldernrnhalle à Munich : Et je veux ranger parmi eux, comme un des meilleurs, l'homme qui a consacré sa vie à réveiller son peuple, notre peuple, par la poésie et par la pensée, et finalement par l'action...
Eckart fut avant tout poète et dramaturge, avant d'être le mentor de Hitler.
Aucun livre en français n'existait pour éclairer sur la pensée et l'oeuvre de celui qui joua un rôle important dans l'ascension du Führer, et nous sommes heureux de combler cette lacune avec cet ouvrage, compilation de textes traduits de l'allemand par Gérard Leroy.