Le rêveur casqué -...
Des camps allemands, régis par une discipline de fer, où Christian de La Mazière, fils d’un officier supérieur de l’armée française, apprend à devenir Untersturmführer de la division Charlemagne, jusqu’à la prison de Clairvaux où il médite sur ses illusions retombées, en passant par les sanglants combats qu’il livre, auprès de ses camarades, contre les « Ivans » à Körlin, sa longue errance à l’arrière des lignes russes, sa capture et l’interrogatoire hallucinant que lui fait subir un commissaire politique soviétique, puis son retour en France et son séjour à la prison de Fresnes, où se retrouvent les condamnés politiques de la Libération et dont il brosse un tableau haut en couleurs, son récit nous emporte comme le plus mouvementé des romans d’action.
Streicher à Nuremberg ou à...
Cet ouvrage s’adresse à tous ceux qui croient pouvoir lutter contre le mondialisme en laissant de côté le problème de l'“Holocauste”. Dans une brillante analyse, Vincent Reynouard constate que le délit de “provocation à la haine raciale” est né au premier procès de Nuremberg…
Si c'était à refaire, je...
Ce livre présente le témoignage extraordinaire de Marie Ponsart, ancienne rexiste partie volontairement travailler en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les livres d’histoire contemporains enseignent que, pendant l’entre-deux-guerres, les idéaux de justice et de progrès étaient défendus par les partisans du régime parlementaire et les communistes : eux seuls cherchaient le bien de l’Humanité. Dès lors, leurs opposants, et notamment les nationalistes, ne pouvaient être animés que de sentiments de haine et défendre des idéaux de mort : les crimes imputés aux fascistes italiens et aux nationaux-socialistes allemands n’en sont-ils pas la meilleure preuve ?
Droits de l'homme et...
Dans cet ouvrage, V. Reynouard démonte le discours tenu par les démocrates et démontre que, loin d’être une entreprise de liberté, les Droits de l’Homme sont au contraire une idéologie répressive autant qu’hypocrite qui provoque la mort de notre civilisation.
Le remède serait un retour à la primauté du Bien commun, ce qu’Hitler avait parfaitement compris. Puis il résume et explique pourquoi, sur le terrain social, le IIIe Reich enregistra des succès inégalés à ce jour.
Table des matières
Introduction
I. Les droits de l’Homme: une idéologie comme une autre
- Une idéologie qui impose trois devoirs essentiels
- Une liberté... très limitée
- « Pas de liberté pour les ennemis de la Liberté »
- Un exemple flagrant : le viol du principe de liberté d’expression en démocratie
Ce que j'ai vu à Moscou -...
Après la révolte irlandaise et la révolution fasciste italienne, Henri Béraud part en septembre 1925, pour le compte du Journal, en URSS. Dans une langue toujours parfaite, notre flâneur salarié conte 1001 scènes de la vie moscovite auxquelles il assiste, des nepmen si peu socialistes aux gens du peuple qui se baignent nus dans la Moskova, des orchestres tsiganes qui, dans les restaurants, font « tomber des larmes de leurs violons » aux personnels des hôtels espionnant les étrangers pour le compte du Guépéou.
S’il va voir la momie de Lénine, Béraud s’entretient avec le puissant Kamenev, pas encore purgé, essaie de rencontrer Trotsky, déjà écarté et invisible. Plus drôle, il assiste à un ahurissant soviet surréaliste réunissant à la fois des peintres et des cochers !
Livr'Arbitres no 44 -...
-Pierre Boutang, métaphysique du secret
-Les enragés de la liberté: apologie des pamphlétaires
-10ème étape du Tour de France littéraire: Champagne-Ardenne
Secrétaire d'Etat sous...
Otto Meissner est né le 13 mars 1880 à Bischweiler (Basse-Alsace) d’un père prussien et d’une mère alsacienne. Mobilisé comme capitaine au sein du 4e régiment d’infanterie de Lorraine, il est en 1918 chargé d’affaires allemand auprès du gouvernement ukrainien à Kiev, où il assistera à la fin de la guerre. En 1919, alors que le président du Reich, Friedrich Ebert (SPD) le nomme directeur-adjoint de son cabinet, Meissner refuse le poste que le gouvernement français lui offre dans l’administration des Chemins de fer d’Alsace-Lorraine. Devenu quelques mois plus tard directeur du Bureau du président du Reich, il occupa ce poste jusqu’à l’effondrement du Reich en mai 1945, servant ainsi sous Ebert, Hindenburg et Hitler.
La Guerre revient - Henri...
Ce livre me vaudra, et pas seulement hors de France, d’implacables inimitiés...D’aucuns y voudront voir une attaque et d’autres un plaidoyer. Il n’est ni l’une ni l’autre. Il n’est qu’un effort pour mettre au point le plus clairement et le plus objectivement possible, – à l’heure la plus critique qu’il nous ait été donné de vivre depuis la guerre – ce que j’ai appris, ce que j’ai vu, et ce qui est. À aucun moment, dans l’enquête dont j’apporte ici les résultats, et dont quelques passages ont déjà paru dans l’Œuvre, l’Écho de Paris et Je suis partout, il ne s’est agi pour moi de prendre parti pour ou contre les Tchèques, les Roumains ou les Serbes, pour ou contre les Croates, les Macédoniens ou les Hongrois.