L'auteur a été le premier à apporter une vue globale sur la question. Un classique, doublé d'un best-seller, traduit en de nombreuses langues.
152 p.
Brennos, un petit marcassin craintif, va devenir, au fil de ses aventures, un sanglier si courageux qu’un village gaulois le prendra comme emblème.
Brennos, un jeune sanglier, grandit au coeur de la grande forêt de Condate. Mais voilà que les Gaulois lâchent leurs chiens et le poursuivent à qui mieux mieux… Gare à celui qui quitte la profondeur des halliers et ne se méfie pas assez de leurs pièges !
À force de volonté, notre sanglier saura si bien dominer sa peur que les Gaulois le prendront comme emblème.
Cette leçon de vie est illustrée avec beaucoup d’humour et de finesse par Arnaud Josselin, jeune papa de petits marcassins joueurs et curieux – à qui il convient néanmoins d’apprendre à dépasser leurs légitimes appréhensions devant le monde des grandes personnes.
Benton L. Bradberry « Le Sale Boche raconté aux braves gens » En ces temps troublés, aujourd'hui, plus que jamais, que diriez-vous de revisiter l'histoire en compagnie de cet ancien pilote de l'aéronavale américaine qui, après avoir parcouru la terre et lu des centaines de livres sur l'histoire de notre monde façonné par toutes ces guerres, a fini par comprendre que tout ou presque n'était que mensonge ? Le résultat de ses recherches et la synthèse qu'il propose couvrent la période s'étalant des premières guerres et révolutions du 19ème siècle jusqu'à la seconde guerre mondiale.
Le 15 février 1944, en quelques heures à peine, la vénérable abbaye du Mont-Cassin fut anéantie par l'aviation alliée. «453 tonnes de bombes ont été lâchées, en huit vagues successives, par 239 bombardiers.» Fort heureusement, tous les trésors inestimables que contenait cette très ancienne abbaye — objets religieux, reliques, livres, manuscrits, incunables, sans compter des tableaux de maîtres venus de Naples pour y être en lieu sûr pendant la guerre - avaient été évacués quelques semaines plus tôt.
Ce que l'on omet de rappeler de nos jours, c'est que tous ces précieux témoins de la civilisation occidentale avaient été évacués par les Allemands.
Cet ouvrage donne le récit de cette incroyable opération de sauvetage dont nous sommes tous redevables encore aujourd'hui.
La Gestapo reste le symbole de la “terreur policière” qui aurait existé sous Hitler dès son arrivée au pouvoir et, plus tard, dans tous les pays occupés par l'Allemagne.
Au procès de Nuremberg, cette police figura parmi les associations nationales-socialistes mise en bloc au banc des accusés en vertu du principe de la culpabilité collective.
Aujourd'hui, les historiens rappellent qu'au terme des débats, cette police fut reconnue « organisation criminelle ». Cependant, les propos entendus lors des audiences infirment en grande partie l'histoire officielle.
De plus, à partir de juin 1944, en France, les auxiliaires de la Gestapo furent traduits en Justice pour leurs agissements sous l'occupation. Vincent Reynouard a consulté les sténographies de ces procès.
Le révisionnisme est une affaire de méthode et non une idéologie.
Il préconise, pour toute recherche, le retour au point de départ, l’examen suivi du réexamen, la relecture et la réécriture, l’évaluation suivie de la réévaluation, la réorientation, la révision, la refonte ; il est, en esprit, le contraire de l’idéologie. Il ne nie pas mais il vise à affir- mer avec plus d’exactitude. Les révisionnistes ne sont pas des «négateurs» ou des «négationnistes» ; ils s’efforcent de chercher et de trouver là où, paraît-il, il n’y avait plus rien à chercher ni à trouver.
L’histoire est, par essence, révisionniste ; l’idéologie est son ennemie.
L’histoire officielle de la Seconde Guerre mondiale contient un peu de vrai combiné avec beaucoup de faux.
Loin d’être un système « neutre », la démocratie est au contraire intrinsèquement perverse : elle ne peut servir le Bien commun que dans la mesure où ceux qui en usent ne le font que pour la subvertir, et l’annoncent ouvertement. On ne peut être de droite, de vraie droite, de droite radicale, et consentir à jouer la carte démocratique, que si l’on commence par dénoncer les vices qui sont consubstantiels à toute démocratie. On ne peut efficacement enrayer, par le mode d’action démocratique, les effets pervers de la démocratie, ou faire jouer la démocratie contre elle-même, que si l’on commence par se proposer, explicitement, de la détruire.