L'Espagne ensanglantée -...
Une violence qui jouera un rôle majeur dans l’effondrement de la seconde République
Anarchistes, milices socialistes, communistes et révolutionnaires : 1880-1939
À partir de la fin du XIXe siècle, l’Espagne va souffrir d’importants mouvements anarchistes, entrainant une violence politique sans précédent. L’auteur décrit ces crimes et assassinats terroristes qui vont ensanglanter la péninsule, l’empêchant de progresser. Des plus hauts dignitaires de l’État, des ecclésiastiques, ou de simples gens du peuple vont être abattus au nom du communisme libertaire.
L’auteur campe les factions anarchistes espagnoles responsables de ces déchainements, ainsi que la vie des principaux meneurs.
Les trahisons des gauches...
Du républicanisme au totalitarisme : 1930/1936
Le 14 avril 1931, la monarchie Bourbonienne s’étant effondrée comme un château de cartes, la IIe République espagnole est auto-proclamée, par les gauches républicaines, grâce à des mouvements de foule incontrôlés, dans les plus grandes villes d’Espagne. L’auteur démontre, faits et références historiques à l’appui, comment « la légende dorée » de cette République espagnole alors à gauche, doit être remise en cause. Le livre met aussi en évidence que l’actuel débat politique espagnol, du fait de l’alliance gouvernementale de la gauche avec l’extrême gauche, est entaché, voire perverti plus que jamais par le ton et les clivages de cette époque, qui remontent à la surface.
Dès lors, ce livre a toute sa place dans les « vérités pour l’histoire ».
Histoire de la guerre...
560 p.
300 photos, index de 600 entrées
Ed. Les Sept Couleurs (Associations des amis de Robert Brasillach), 2023.
« Ils ont à peine plus de trente ans, ils sont attentifs à leur époque, ils aiment les terres brûlantes de l’Espagne où la guerre civile a éclaté en juillet 1936. D’observateurs passionnés, Maurice Bardèche et Robert Brasillach vont se transformer en historiens.
Pari risqué, car la guerre d’Espagne vient à peine de se terminer; elle s’achève le 1er avril 1939 et le livre paraît en juillet. Sachant qu’il leur manque le recul, nos deux chroniqueurs s’astreignent à la prudence.
Solidement documentés, avec une application quasi estudiantine, ils dénombrent les effectifs, décrivent les mouvements de troupes, rendent compte des réactions diplomatiques.
Dans mon imagination ......
En 1988, après dix ans de recherche, Carlos Porter publie Made In Russia: The Holocaust, une compilation de quelque 400 pages photocopiées de la transcription du procès de Nuremberg et archives connexes, « prouvant » un ensemble de mensonges auxquels personne ne croit plus (ex. : les chambres à vapeur, les chambres sous vide, les chambres avec trappe piégée…), en somme, les délirantes accusations portées contre les Allemands aux procès de Nuremberg…
À son grand étonnement, le livre ne provoqua presque aucune réaction, que ce soit à l’époque ou par la suite. La seule réaction est venue d’une personne intelligente qui lui a dit : « Votre livre est absolument incroyable. Les Allemands avaient-ils vraiment des machines à pédale pour écraser le cerveau pour fabriquer du savon humain ? »
Adolf Hitler la plus grande...
Et si l’on nous avait menti sur toute la ligne. Si l’homme le plus diabolisé de l’histoire humaine fut en réalité le négatif photographique de ce monstre de Frankenstein, de cet épouvantail à Goyim qui, aujourd’hui plus que jamais, incarne le mal absolu aux yeux de l’écrasante majorité de nos contemporains pris en étau dans cet infernal mensonge. Mensonge, assurance-vie et incommensurable rente tout à la fois pour ses diaboliques instigateurs, qui s’est peu à peu mué en religion ultime, forgé qu’il fut à travers une machiavélique malversation mémorielle d’ampleur inédite.
Le testament politique de...
La mystification du XXe...
Pour l’auteur de The Hoax of the Twentieth Century (La Mystification du XXe siècle) la prétendue extermination physique des juifs européens pendant la seconde guerre mondiale constitue ce qu’on peut indifféremment appeler un mensonge historique, un mythe, une imposture ou, comme c’est ici le cas, une mystification. En France et en bien d’autres pays cette mystification est devenue une vérité officielle qui, ayant aujourd’hui force de loi, est protégée par la police, par l’appareil judiciaire et, surtout, par l’omnipotence des grands médias. Elle a pris les caractères d’une croyance religieuse, d’un interdit social, d’un tabou.